Notre quête du divin, et donc de notre identification ultime à l'Unité, rejoint également le principe de notre recherche de la perfection qu’on peut associer au symbolisme du cercle. Étant constitué d’éléments semblables, le cercle représente l’absence de distinction ou de division et symbolise l’indifférenciation et l’assimilation favorisant l’intégration de l’individu au sein d’une entité plus grande, un groupe.
Ainsi, les croyances des autochtones d’Amérique considèrent la vie comme étant un grand cercle à l’intérieur duquel toutes vies sont liées ensemble dans une relation d'interdépendance, et tout manquement aux lois naturelles viendrait perturber l'harmonie de ce cercle et celle des êtres qui le compose. Par exemple, les cérémonies religieuses des Tongvas, un peuple vivant dans le sud de la Californie, et lié au dieu mythologique Quaoar*, se déroulaient à l’intérieur d’une structure circulaire qu’on retrouvait dans le village et où la danse en tant que rituel occupait une très grande place, puisqu’elle leur permettait d’atteindre un état d’harmonie avec la nature.
Mais où pouvons-nous trouver les traces de cette quête du divin par l’harmonisation avec la nature ?
Possiblement en France, alors qu’en 1992 dans le département d’Aveyron, au nord de Toulouse, des membres de la société de spéléologie de Caussade découvrirent dans la grotte de Bruniquel une vaste salle située à 336 mètres de l'entrée, et qui contient un nombre impressionnant de concrétions brisées disposées en deux structures circulaires où l’on retrouva, sur chacune des structures, plusieurs traces de structures de combustion, des points d’éclairage (lumière).
alors que la grande structure elliptique avec ces deux amoncellements pourrait très bien représenter ce système qui comporte une étoile double ceinturée par l’orbite d’une troisième.


autres extraits du livre
page 195 - Le nuage d'Oort
L’une des hypothèses concernant l’activité qui se déroule au niveau du nuage d'Oort, conçoit que ces objets seraient localisés au point médian d’attraction gravitationnelle de deux étoiles, et seraient donc attirés autant par notre soleil que par l’étoile voisine la plus proche de notre système planétaire, soit le système Alpha du Centaure. Ainsi, sous l’effet de perturbations gravitationnelles provoquées soit par notre soleil ou alpha Cen, certains noyaux cométaires seraient éjectés hors du système solaire, tandis que d’autres, au contraire, seraient précipités vers l’intérieur de notre système et deviendraient observables de la terre.
Cette hypothèse soulève cependant une importante problématique pour les scientifiques, puisque mathématiquement, avec le temps, il ne devrait plus y avoir d'objets dans ce réservoir qui devrait normalement se vider graduellement, sauf, si ce nuage se trouvait être alimenté par d’autres sources.
Une première possibilité d’approvisionnement envisagée par les scientifiques serait l'éjection par les géantes gazeuses d'astéroïdes provenant de la ceinture entre Mars et Jupiter, ou encore, en provenance de la zone couverte par les Centaures.
Une seconde possibilité envisage l'apport d’objets provenant de l’extérieur de notre système planétaire et qui auraient été captés par notre soleil lors de notre passage près d’autres systèmes planétaires. Ainsi, il est fort possible que des échanges de blocs entre les deux systèmes se soient produits à la suite de perturbations gravitationnelles, et que ces blocs furent soit précipités vers le Soleil pour venir s’y écraser, ou encore qu’ils aient percuté l’une des planètes ou qu’ils furent satellisés. Le petit astre Dioretsa* pourrait être l’un de ces objets provenant d’un autre système planétaire, puisqu’il possède un très long parcours orbital le reliant aux deux ceintures, et qu’il possède un mouvement orbital rétrograde qui va l’encontre du mouvement naturel de l’ensemble système solaire.
La combinaison de ces théories nous permet d’envisager une forme de mouvement d’échange de la matière entre les différents niveaux de notre système planétaire, mais également, une forme de communication entre deux systèmes stellaires différents.
page 196 - Nos voisines galactique, Alpha du Centaure et Sirius
Le système Alpha du Centaure est ce voisin avec lequel on partagerait des frontières communes, car c’est l’étoile visible qui se situe le plus proche de notre système solaire, alors que sa lumière met environ 4.3 années pour atteindre la Terre. Elle est également l’étoile la plus brillante de la constellation du Centaure et la troisième plus brillante du ciel.
L’une des caractéristiques de cette étoile qui attire mon attention parallèlement à la connaissance ésotérique traitant de la nature triple de l’Être, c’est que malgré qu’elle nous apparaît visuellement comme un astre unique, cette étoile est en fait une étoile double comportant une troisième étoile tournant autour des deux autres, cette triplicité stellaire nous rapprochant symboliquement de l’étroite interaction de l’Esprit et de l’Âme englobée dans un troisième élément, le Corps, formant ensemble une entité unique.
« Alpha Centauri A » est également nommée RigelKentaurus, le pied du Centaure en arabe ou encore Bungula ou Toliman, et elle forme un système binaire avec sa compagne alpha Centauri B, tournant mutuellement l’une autour de l’autre en une période de 80 ans. La troisième étoile, qui semble liée à ce couple, est nommé « Proxima Centauri », et elle est une naine rouge invisible à l'œil nu, mais dont la position dans le système d'alpha Centauri en fait l'étoile la plus proche de la Terre, alors qu’elle en est éloignée de 4.22 années-lumière.
page 332 - Les trois aspects du créateur - le plan monadique
Notre plus proche voisin stellaire avec lequel on partage une frontière commune est le système triple d’Alpha du Centaure qui comporte une étoile double autour de laquelle gravite une troisième, faisant ainsi écho à la triple nature de l’Être, où l’Esprit et l’Âme sont enchâssés dans un troisième élément, la Forme. Cette triade compose alors une entité énergétique unique, qui à l’instar de la lumière stellaire qui nous provient d’Alpha du Centaure, nous semble émaner d’une seule et même source radiante.
Pour janvier 2021 on retrouve le système Alpha Centuri à 29°45’ du signe du Scorpion tropical ou 4°43’ du Scorpion sidéral Fagan.