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 Le nouveau visage d’un vieux compagnon de route, Mercure. 1re partie – l’astronomie 
         par Richard DOYLE Musique d'ambiance ~ "Mercure, le Messager Ailé" ~ Holst Introduction L’astronomie et l’astrologie, un tout L’intelligence cosmique a envisagé le développement de l’humanité dans les deux domaines de la connaissance de notre environnement, celui de l’intellectuel, orienté vers la matière, et celui du spirituel, orienté vers l’esprit. De ce paradigme l’on peut déduire que si nous désirons obtenir une perception globale de la connaissance de la psyché cosmique, et par conséquent de la nôtre, alors l’astronomie et l’astrologie se doivent d’interagir en complémentarité. Voici donc la 1re partie d’une petite étude sur la planète Mercure, qui fait actuellement peau neuve aux yeux de nos confrères astronomes. Peut-on envisager que cette nouvelle perception scientifique nous permettrait également d’apporter un regard nouveau sur l’essence de ce vieux compagnon de route sidéral, ou viendrait tel tout simplement confirmer la connaissance des astrologues? J’ai l’espérance que ce sera un peu des deux. 
 
 
 
         Le Septénaire fondamental extrait d’un texte d’Oswald Wirth (1860-1943) 
 
 Ces astres errants effectuent dans
        le ciel le même trajet que la Lune et le Soleil. On assimila donc ces
        deux grands luminaires aux cinq étoiles vagabondes, d'où un Septénaire
        devenu primordial en Astrologie. » 
 Mercure est l’une de ces cinq planètes appartenant à ce Septénaire millénaire, et la plus petite des huit planètes connues constituant notre système solaire contemporain. En compagnie de Vénus, de notre Terre et de Mars, ce quatuor constitue le groupe des planètes qualifiées de telluriques. Tous orbitent dans la partie dite interne de notre système solaire, soit entre le Soleil et la ceinture principale d’astéroïde. Au sein de ce groupe, Mercure est synonyme “d’extrême ”: la plus petite, la plus dense, celle qui possède la plus vieille surface, celle qui connait en une journée la plus grande variation de température à sa surface, la seule à posséder une journée qui dure plus longtemps que son année, et celle qui est la moins explorée. 
 
 Le messager des dieux reçoit MESSENGER 
 
 La sonde MESSENGER effectua au total trois passages au dessus de la surface mercurienne. Le premier fut le 14 janvier 2008 peu après 19 h UTC, le second fut le 6 octobre 2008 à 8 h 40 UTC et le troisième fut le 29 septembre 2009, avant de revenir pour une dernière fois le 18 mars 2011 pour se mettre en orbite autour de Mercure, celle-ci, perdant alors son statut de planète la moins explorer au profit des deux géantes bleues – Uranus et Neptune. Depuis le 4 avril 2011, et ce pour une période d’un an, la sonde a amorcer son travail de cartographie détaillée de la planète avec des images haute résolution inédites. 
        
        
         La sonde, qui fut lancée le 3 août 2004 à 6 h 16 UTC de Cap
        Canaveral, en Floride, s'est approché à près de 200 kilomètres de la
        surface de Mercure, marquant ainsi le premier survol depuis 1975 de la
        planète qui orbite le plus prêt de notre Soleil. En
        janvier 2008, au cours du premier survol de MESSENGER,  les
        scientifiques ont pu ajouter un 20 % de plus. Et lors du second
        passage le 6 octobre 2008, MESSENGER a permis d’ajouter un autre 30 %
        de la surface de Mercure qui n'avait jamais été vue auparavant par un
        vaisseau spatial.    Auparavant,
        la connaissance que
        l’on avait du visage mercurien nous le présentait comme étant très
        ancien et ressemblant à celui de la Lune. Tous deux, conservant les
        traces d'impacts allant des micrométéorites qui adoucissent les
        reliefs aux impacts majeurs de
        gros astéroïdes et de
        noyau de comètes qui se sont abattus sans ménagement sur
        leur surface, les truffant ainsi de cratère.   … les traces
                de gros astéroïdes
                … Est-ce qu’une partie de
                l’essence féminine que l’on attribue à Mercure, dans
                l’environnement du signe de la Vierge, et que l’on attribue
                à la Lune, dans l’environnement du signe du Cancer, serait en
                fait le résultat de l’intégration dans leurs corps physiques
                de l’essence féminine contenu dans la très grande quantité
                de matière cosmique véhiculé par les astéroïdes qui les ont
                percutés? Lors de l’arrivé de la
                sonde MESSENGER, le 14 janvier 2008, Mercure transitait 10°25
                Verseau (tropical) formant un carré exact à Cérès, la Reine
                des astéroïdes qui est associée au signe de la Vierge, qui,
                elle, se baladait 10°35 en Taureau. On pourra également
                observer que Mercure progressait rapidement vers Chiron qui se
                situait 14°11 Verseau : Chiron étant reconnu pour sa
                connaissance des corps célestes, orientée autant vers la matière
                que vers l’esprit.     La face cachée se dévoile   C'est lors du premier et du second passage rapproché de MESSENGER que les scientifiques ont pu observer pour la
         première fois la totalité de l’hémisphère qui nous était encore inconnu. Lors de ces deux survols
        la sonde retransmit des centaines d'images, de qualité nettement supérieure à celle prise par Mariner 10, et de nombreuses données jugées surprenante et mystérieuse par les scientifiques. . Robert Strom, l’un des co-investigateurs de l'équipe scientifique
        de MESSENGER, et le seul scientifique ayant fait partie de l’équipe
        de Mariner 10, a commenté ainsi les nouvelles images de Mercure : « la nouvelle technologie incorporée dans MESSENGER a permis de
        nous révéler une planète entièrement
        nouvelle de ce que nous avons vu il y a plus de 30 ans ». En effet, alors que la surface rocheuse de Mercure avec ses nombreux
        cratères nous apparaissait à première vue être similaire à celle de
        la Lune, la petite planète nous a en fait dévoilé
         un
        visage nettement plus différent que celui de la Lune. Ainsi, contrairement à ce que les scientifiques supposaient
        auparavant, cette série de photographie a permis de découvrir
        qu’elle possédait des caractéristiques qui lui sont uniques, alors que
        contrairement à  la
        Lune qui est un astre presque mort, Mercure s’est révélé être
        une planète très dynamique.     … un visage nettement plus
                différent que celui de la Lune. Est-ce que cette découverte
                va nous permettre de mieux distinguer les différentes facettes
                de la féminité qui sont intégrées à notre psyché? … la Lune qui est un astre
                presque mort, … Le Maître Djwal Khul, par l’entremise
                de la plume d’Alice A. Bailey, souligne à mainte reprise dans
                ses ouvrages que la Lune est une forme morte; et aucune émanation
                ne provient d’elle. C’est pourquoi la lune est décrite dans
                l’enseignement ancien comme « voilant ou Vulcain ou Uranus ». 
                Survol
                de la surface lunaire
                 
                par
                la sonde japonaise Kaguka 
          Le petit compagnon de notre Soleil   Mercure possède un diamètre d'environ 4.880 kilomètres,
        et donc environ un tiers celui de la Terre qui fait 12.756 kilomètres.
        En fait, Mercure n’est pas
        beaucoup plus grosse que notre Lune qui possède un diamètre de 3.475
        kilomètres. Elle est cependant plus petite que Ganymède et Titan, des
        satellites de Jupiter et Saturne, possédant respectivement des diamètres
        de 5.280 et 5.140 kilomètres.   Cet état de fait peut nous porter à pousser
        notre réflexion à percevoir Mercure comme étant un satellite du
        Soleil, et donc, sur le plan de notre conscience,  à lui être amalgamé. Transit
        de Mercure en 2006, photographié par la sonde SOHO de la NASA   Il est souvent
                mentionné dans la littérature occulte que Mercure symbolise l’illumination
                qui libère notre mental des illusions. Est-ce dire qu’à ce
                moment, alors que le corps de Mercure se trouve imprégné de l’abondante
                lumière émanant du Soleil, que l’essence mercurienne se confond
                à celle solaire, et qu’elles ne font plus qu’une?  
                 La topographie de
        Mercure   Les cratères de Mercure servent à commémorer le
        nom de personnages, maintenant décédés, qui ont apporté leur
        contribution à l’évolution de l'humanité, tels que des artistes,
        des musiciens, des peintres, et des auteurs. Ce sont les scientifiques
        qui étudient et cartographient les composantes topographiques
        nouvellement découvertes qui peuvent suggérer des noms à l'IAU[1]. Dans le cas de Mercure, les cartographes devraient
        avoir de quoi s’occuper pour une très bonne période de temps, car les
        sept instruments de MESSENGER ont permis de découvrir sur la surface jusqu’alors
        cachée de Mercure une toute nouvelle et inexplorée topographie de cratères
        et de formations géologiques. Ainsi, contrairement à la Lune, les scientifiques
        ont découvert que Mecure possède des falaises qui serpentent sa surface
        sur plusieurs centaines de kilomètres de long. Le gigantisme de ces escarpements
        suggère que l’histoire de Mercure serait différente de celle des autres
        planètes de notre Système solaire. L’instrumentation a également permis de confirmer
        ce que l’on savait déjà, soit que la surface de Mercure est effectivement
        criblé de nombreux anciens cratères résultant de l'impact d'astéroïdes
        et de l’activité volcanique qui régnait au début de la formation de
        la planète. Les scientifiques peuvent définir l'âge relatif de différents
        zones de la surface de l’astre en se basant sur la densité de cratères
        que l’on retrouve sur cette surface. Ainsi, plus la surface a accumulé
        de cratères, plus la surface est ancienne. MESSENGER a également permis d’observer des
        bassins de plus de 2.000 mètres de profondeur, des plaines, ainsi que
        des montagnes culminant à près de 5.000 mètres[2]     L’araignée   MESSENGER a notamment permis de découvrir une formation géologique
        unique présentant des caractéristiques très inhabituelles et que les
        scientifiques de la mission ont nommé  "The Spider",
        l'araignée. "The Spider" se trouve au centre du bassin Caloris qui
        s’est formé il y a près de quatre milliards d'années lors de
        l'impact d'un énorme astéroïde.   
         
         Selon les instruments de MESSENGER, le diamètre de
        ce bassin atteindrait près de 1.600 kilomètres, soit le tiers du diamètre
        de Mercure, et donc beaucoup plus que l'estimation faite à partir des
        données recueillies par Mariner 10 en 1975. Le bassin Coloris est donc
        l’un des plus grands, et peut-être l'un des plus jeunes, bassins que
        l’on retrouve dans notre Système solaire. Ce type de formation n'a jamais été observé auparavant sur
        Mercure, et rien de semblable n'a été également observé à la
        surface de la Lune. James Head, un des membres de l'équipe scientifique
        et professeur à l'université Brown (Rhode Island, est) a mentionné
        que "Cette formation géologique
        possède un cratère (de 41 kilomètres de circonférence) près de son
        centre, mais il est impossible de déterminer s'il est lié ou non à
        cette formation ou s'il s'est formé ultérieurement", "The Spider" est aussi formé d'une centaine de tranchées
        étroites  irradiant d'un point
        central tel les pattes d'une
        araignée,
        d'où le nom retenu par les scientifiques de la mission pour cette
        formation géologique qui "constitue un véritable mystère"
        selon Louise Prockter du laboratoire de physique appliquée de
        l'Université Johns Hopkins.   … irradiant d'un point
                central … Cette structure
                topographique rappelle les alignements radiaux de galets que
                l’on retrouve en Amérique du Nord ( medecine whells) … y
                aurait-il un lien? … araignée, … Les
                araignée tous comme les scorpions font partie de la même
                classe d’insecte, celle des arachnides. Peut-on sur cette simple
                observation percevoir un lien avec le fait que Mercure
                symboliserait les araignées, et que c’est pour cette raison
                que les écrits ésotériques lui attribuent la régence hiérarchique
                ( le 3e  niveau de régence) du signe du Scorpion?  
         L’exosphère mercurienne   Mercure est entouré d’une enveloppe gazeuse extrêmement
        mince. En fait, elle est tellement mince, que contrairement à celles de
        Vénus, de la Terre et de Mars, les molécules qui la constituent
        n’entrent pas en collision les unes avec les autres, mais rebondissent
        comme des balles de caoutchouc d’une place à l’autre à la surface
        de la petite planète. Pour cette raison, l’atmosphère mercurienne
        est appelée une exosphère. L’exosphère se définit comme étant une mince
        atmosphère où la densité des atomes est très faible et où les
        collisions entre particules sont considérées comme négligeables. Les
        atomes s'y comportent librement allant jusqu'à s'échapper dans
        l'espace. Notre connaissance actuelle de la composition de
        l’exosphère mercurienne se limite à six éléments, bien que
        d’autres éléments pourraient être présents: H – hydrogène (numéro
        atomique 1); He – hélium (numéro atomique 2); O – Oxygène (numéro
        atomique 8); Na – sodium (numéro atomique 11); K – Potassium (numéro
        atomique 19) et Ca – calcium (numéro atomique 20). L'addition
                théosophique des numéro atomique des six éléments connues,
                soit 1 + 2 + 8 + 11 + 19 + 20, nous donne le nombre 61 = 6 + 1 =
                7.
                
                
                 Le
                nombre 7 est associé à Apollon qui reçu de Mecure la Lyre à
                sept cordes. Les observations par nos scientifiques de
        l’exosphère mercurienne ont permis de constater que les différents
        éléments la constituant sont très fluctuants si on la considère sur
        une échelle de temps comparable à l’âge de Mercure. De ce fait, les
        scientifiques en ont déduit qu’il devait y avoir des sources différentes
        pour chacun des éléments constituant l’exosphère. L’hydrogène et l’hélium sont présents en
        abondance dans le vent solaire,
        qui est un courant de particule ionisée émis par le Soleil, et qui
        peut dans certaines circonstances pénétrer la magnétosphère
        mercurienne et venir cribler sa surface. Ainsi, lorsque le Soleil vie
        une intense activé énergétiques, il engendre  un vent solaire
        particulièrement dense qui induit d’importantes modifications à
        l’exosphère mercurienne.   … le
                vent solaire, … Dans mon
                livre « Les Nouvelles Frontières de l’astrologie »,
                j’associe le vent solaire au flux d’énergie qui émane de
                notre noyau rayonnant, et qu’on appelle le « champ
                aurique ». Les autres éléments émaneraient
        vraisemblablement d’une part de l’impact de micrométéorites ou de
        comètes avec le corps mercurien, et d’autre part, directement de la
        surface rocheuse de Mercure en lien avec sa structure et la composition
        de sa surface. Par exemple, la présence de la très large
        structure topographique du bassin Caloris permet d’observer une
        augmentation très significative des différents éléments observés
        dans l’exosphère mercurien lorsque ce bassin est exposé au rayon du
        soleil à une heure locale matinale. Mercure est
        également
        la planète qui possède la plus grande amplitude thermique qu’on
        retrouve entre les faces ensoleillée et diurne d’une planète, soit
        un écart de 600°C, un phénomène causé par l’extrême raréfaction
        de son atmosphère. Mais ce phénomène est également la cause
         d’un
        mouvement migratoire  des éléments volatils entre la face
        diurne et celle nocturne. Ce passage
                d’une condition environnementale extrême à une autre nécessite
                d’effectuer les adaptations nécessaires afin de permettre à
                un organisme de continuer de fonctionner adéquatement. On est ici
                dans l’essence mercurienne gémeaux.   Cette
        très forte amplitude thermique mercurienne, nous amène à faire un
        parallèle avec l’une des caractéristiques de l’élément chimique
        que l’on appelle également mercure, et qui possède le symbole Hg
        et  le numéro atomique 80.
        Le mercure possède un coefficient de dilatation thermique très élevé,
        et à cause de cette très grande  sensibilité à la fluctuation de
        température,
        il fut utilisé dès le XVIIe pour la
        fabrication des thermomètres. 
         … LE
                NUMÉRO ATOMIQUE 80 80 = 8+0 =
                le 8e signe. Traditionnellement le 8e signe du parcours zodiacal
                est associé a celui du Scorpion. Mais si l’on considère que
                l’axe Bélier / Balance est celle du 1er et du 7e signe, alors
                dans un cheminement inverse ( ou celui de l’évolution de la
                précession des équinoxes) le signe de la Vierge devient le 8e
                signe.  …
                sensibilité à la fluctuation de température, … Une
                nouvelle fois, cette capacité mercurienne de réagir rapidement
                au continuel changement de notre environnement  
         Une journée plus longue que l’année   Mecure met 59 jours terrestres pour exécuter une
        rotation autour de son axe. Elle possède donc une vitesse de rotation
        sur elle-même qui est très lente.  Mais sa vitesse orbitale est très rapide alors que son année équivaut
        à 88 jours terrestres. La combinaison des forces qui résulte de ces
        deux phénomènes physiques vient influencer de façon particulière la
        période de temps qu’une portion de la surface mercurienne demeure
        exposée au soleil. En effet, une journée sur Mercure peut durer
        jusqu’à l’équivalent de 176 jours terrestre, soit deux fois plus
        longtemps qu’une année mercurienne[3].  
         
        Le
        champ magnétique mercurien   Dans leurs propos, les scientifiques mentionnent
        que l’observation la plus particulière que l’on peut faire sur sur
        le champ magnétique mercurien, et la magnétosphère qui résulte de
        son interaction avec le vent solaire, c’est tous simplement
        d’observer que cette petite planète en possède un. Les champs magnétiques dipolaires, et les magnétosphères
        résultantes, sont produits par un effet de dynamo provoqué par la
        rotation de fer en fusion entourant le noyau central d’une planète. Même
        si le champ magnétique mercurien semble être une version miniature de
        celui de la Terre, celui de Mercure est très dynamique et en
        constante transformation et changement et ce, en écho à
        l’intense activité du Soleil, a ses éruptions et à l’émission du
        vent solaire qui en résulte.   MESSENGER a permis de constaté que le champ magnétique
        fondamental de Mercure est presque identique à ce qu'il était il y a
        30 ans lors du survol de Marine 10. Les scientifiques, après avoir
        apporté des correctifs tenant compte de l’impact de l'interaction
        avec le vent solaire, ont constaté que l’intensité et
        l’orientation du dipôle moyen étaient les mêmes, à quelques
        pourcentages près, qu’en 1975. Le scientifique responsable de
        l'instrument magnétométrique, Brian Anderson, mentionne que la
        recherche va porter maintenant à étudier la structure dans le champ
        interne afin d’identifier la source du champ magnétique. Le champ magnétique de la Terre est en constante
        évolution puisque les pôles se renversent périodiquement selon des époques
        géologiques, entraînant par le fait même un changement des surfaces
        terrestres qui seront exposées aux particules dangereuses véhiculées
        principalement par le vent solaire. Les scientifiques prévoient de
        semblables variations pour le champ magnétique mercurien, mais puisque
        la nature de la dynamo qui génère le champ et que les temps entre les
        changements sont actuellement inconnus des scientifiques, cette
        affirmation ne demeure que théorique. Les deux prochains survols de MESSENGER ainsi que
        sa phase orbitale finale d'une année permettront d’apporter aux
        scientifiques un nouvel éclairage sur l’énigme du champ magnétique
        mercurien. Ils espère ainsi résoudre ce mystère mercurien, et
        qu’ils pourront par le fait même mieux comprendre l'histoire du champ
        magnétique de la Terre et pourquoi il n'y a aujourd'hui aucun champ
        magnétique global pour Vénus et Mars.  
         La très grande densité de Mercure   Maintenant que les scientifiques savent que le
        processus
        de refroidissement du noyau mercurien se poursuit encore présentement,
        cet état de fait implique que l’histoire de cette planète, ce qui
        intéresse les scientifiques, est encore très active, et par conséquent
        que son essence ésotérique, ce qui intéresse les astrologues, est toujours en évolution. Avec une proportion deux fois plus élevée que
        celle de Vénus, de la Terre et de Mars, la
        densité de Mercure est de loin la plus élevée des quatre planètes.
        Cet état de fait nous indiquerait que son noyau constitue au moins 60 %
        de la masse de cette planète. Cependant, contrairement
        au noyau de la Terre, ses dimensions nous sont encore inconnues, mais il
        semblerait, à cause du fort pourcentage de sa masse, qu’il
        posséderait un rayon qui couvrirait approximativement 75 % de
        celui de la planète en entier.   
        
         Lors
        du second passage de MESSENGER, le 6 octobre 2008, Mercure était alors conjoint au Soleil dans le signe
        de la Balance tropical, mais en Vierge sidéral, signe de sa régence
        orthodoxe. Le petit compagnon de notre soleil n’avait donc pas
        fini de se dévoiler. Lors
        du troisième passage de MESSENGER, le 29 septembre 2009, Mercure était
        alors en Vierge tropical,
        signe de sa régence orthodoxe. Et
        lors de la mise en orbite de la sonde, le 18 mars 2011, Mercure était
        alors en Bélier tropical, signe de sa régence ésotérique (plan émotionnel). R.D.
        [6]     29 septembre 2009 Un
          troisième et dernier survol de la
          planète Mercure par le vaisseau spatial de la NASA donne aux scientifiques, pour la première fois, une
          vue presque complète de la surface de la planète et fournit de
          nouveaux résultats scientifiques sur cet astre relativement inconnu. Cliquez sur
          l'illustration pour lire
          l'article sur le site P.G.J.   4 avril 2011 Messenger,
          la sonde américaine en orbite autour de Mercure a commencé sa
          cartographie détaillée de la planète avec des images haute résolution
          inédites. Cliquez sur
          l'illustration pour lire
          l'article et découvrir les images de la mystérieuse planète Mercure sur le site
          Futura-Sciences.   [1]
            L'Union Astronomique Internationale supervise
            le processus officiel d'appellation des nouveaux cratères ainsi que
            d’autres composantes nouvellement découvertes, tels les astéroïdes,
            qui constituent notre système solaire. [2]
            Le mont Everest, sur la Terre, culmine à
            8.844 mètres. [3]
            Pour observer ce phénomène, voici
            l’adresse d’un vidéo que l’on retrouve sur le site de
            MESSENGER : http://btc.montana.edu/messenger/Interactives/ANIMATIONS/Day_On_Mercury/day_on_mercury_full.htm [4]
             Mercure, Vénus, la Terre et Mars. [5]
            
            Illustration courtoisie de
            NASA et APL. [6]
            Une
            grande partie de l’information scientifique émane des communiqués
            de la NASA émis pour la mission MESSENGER. Toutes les photographies
            de la planète Mercure, contenues dans cet article, sont une
            courtoisie de NASA/Johns Hopkins University Applied Physics
            Laboratory/Carnegie Institution of Washington.     La
        première parution de ce texte fut dans le mensuel
        d’Univers-site / Reconnaissance n°110     La Lyre du Québec
        / CopyCentered ~ Offert gratuitement sans condition mise
        a jour 25 avril 2011    |