Quaoar, la manifestation du créateur
Richard Doyle
Afin de circonscrire l’exploration du symbolisme de Quaoar, l’on va examiner uniquement l’une des facettes de son essence : la danse.
Un moyen de se rapprocher de sa nature divine
Différents éléments font partie intégrante de la danse. Il y a d’abord la musique, qui est le stimulant nous permettant d’exprimer une émotion intégrée au mouvement. Ensuite il y a le mouvement qui permet d’entrer en action et qui est exprimé par le corps. Enfin, il y a le fait de vivre intensément l’instant présent. Ce qui peut se traduire par une expérience vécue avec une grande intensité qui englobe les fonctions émotionnelles, les sensations internes et l’organisme. Cette expérience étant vécue dans un intervalle de temps « ici et maintenant », il y a donc possibilité de perte de la notion du temps linéaire.
On retrouve des scènes de danse dans plusieurs grottes de l’âge de pierre. Elles sont les traces et les vestiges qui témoignent de l’existence de la danse, de sa pratique et de sa perpétuité dès les premiers âges de l'Histoire de l’humanité. Ainsi, la vision poétique émanant de la danse mystique de Quaoar nous suggérerait, comme le font également d’autres danses anciennes, que la danse est antérieure à toutes autres formes d'expression de l'Art et témoignerait également de son universalité. Cette perception tendrait à confirmer la thèse, soutenue par une majorité des grands spécialistes de l’histoire de la danse, que les origines de la danse remontent aux « sources les plus anciennes » de l’histoire de l’humanité.
La conclusion de cette thèse rejoint analogiquement le principe précédemment posé permettant d’établir la base de l’essence des astres du disque d’Edgeworth-Kuiper, à savoir qu’ils symboliseraient les reliques et les traces de la connaissance, des traditions et des rituels des anciennes civilisations.
Si le mot Quaoar désigne les danseurs de la tribu tongva , il désigne également la manifestation de la source primordiale d’une volonté créative s’exprimant à travers la danse. Cette danse cosmogonique amérindienne rejoint la vision du poète Lucien : « Avec la création de l'Univers naquit à son tour la danse qui symbolise l'union des éléments. La ronde des étoiles, les constellations des planètes reliées aux autres astres fixes, l'ordre et l'harmonie de tous les éléments reflètent la danse originelle du temps de la création ».
Ainsi, les danseurs racontent l'histoire de la création. Les battements du tambour brisent le mur qui sépare le tangible du mystère et le danseur devient réellement un esclave de Dieu qui révèle à chacun l'Ultime Réalité.
Rapidement, l’être humain est devenu conscient qu’il était soumis à des « forces de la nature » supérieures à la sienne et que ces forces échappaient à sa volonté et son contrôle. L’une des constantes préoccupations de l'être humain fût de concilier la réalité concrète avec la faveur des forces mystérieuses dont il soupçonnait le pouvoir dans l'au-delà. Ce qui se manifeste, n'étant que le symbole du non manifesté. Depuis toujours l’être humain tente de rétablir son lien avec le cosmos puisqu’il existe des correspondances dans leur essence, et qu’il y a « résonance » entre l’être humain et l’univers infiniment grand. La religion, les rituels et les croyances ont constitué une part importante de la vie de l'homme primitif.
Les historiens de la danse s'entendent en général pour affirmer que la danse d’il y a 8 000 ans était largement instinctive et spontanée dans sa forme ; dans ses buts, qu’elle était sérieuse et utilitaire ; dans ses valeurs, qu’elle était immensément religieuse et sociale . La danse était utilisée pour actualiser et réaliser ces croyances et ces rituels. Elle est donc la manifestation de l’Instinct de Vie. À travers la danse, l’être humain chercherait à retrouver l’unité première, là où se retrouvent et se soudent hors du temps en une unique extase l’âme et le corps, le créateur et la création, l’invisible et le visible.
Dans toutes les cultures, et même dans celles de notre époque, la danse devient ainsi une libération rythmique d'énergie provoquée par un état dans lequel une personne se trouve comme transportée hors du monde sensible, hors d’elle-même, par l’intensité d’un sentiment mystique. La danse devient un moyen naturel pour l'être humain de se mettre en résonance avec les énergies cosmiques et ainsi se rapprocher de sa nature divine. Toutes ces forces exerçent sur lui une action puissante et irrésistible et se manifeste par les premiers gestes instinctifs, essentiels et primordiaux de la vie courante.
Les gestes, des mouvements de l'Âme
L'une des premières manifestations émanant d’un nouveau-né, c’est le geste. Le mouvement du corps devient alors un langage muet qui va au-delà de la parole et qui marque le début de la danse.
Ainsi, la danse naîtrait d’un élan naturel et instinctif, mais également raisonné, de l’être humain cherchant à exprimer ces divers sentiments et sensations. Elle affine l'esprit, exerce les membres, instruit et charme les yeux, l'oreille et l'âme. Elle commencerait au moment où le geste est ordonné, et serait donc, à sa source, une manifestation de la volonté qui nécessite une participation de l'Esprit. Un mouvement du corps serait donc une conséquence d'un mouvement de l'Ame.
Pour ces raisons, on constate que le processus créatif qui émane de la danse peut se manifester de multiples façons à travers l’expression individuelle ou collective des différentes ethnies et civilisations ayant peuplé la Terre au cours de son histoire. De plus, celles qui pratiquent les rituels des danses ayant un caractère sacré et symbolique recherchent les mêmes aspirations, et ce, malgré une origine très différente et éloignée. Elles recherchent le détachement des contingences humaines et matérielles vers la spiritualité ; l'évasion de la Terre vers le Cosmos ; la recherche du divin, de l'Identité suprême et de l'Unité.
Maria Taglioni ~ Vaslav Nijinski
Ginger Rogers et Fred Astaire ~ Maurice Béjart
Pour qu’une manifestation « artistique » devienne l’expression de la plus pure créativité, il est nécessaire que l’être s’abandonne totalement afin que son corps devienne l’instrument de captation instantanée des puissances supérieures. Le corps, dans sa dimension spirituelle, devient alors le canal d’écoulement des énergies cosmiques. L'être étant alors imprégné de l’énergie Divine, il devient lui-même le Créateur. Dans le cas de la danse, cette création se manifeste alors par des gestes ordonnés du corps, unissant le son, le rythme, et le mouvement.
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L'HUMANITÉ EN ÉVEIL UNE CHORÉGRAPHIE
Le nombre 5 : le corps humain
L’énergie créative, qui se libère à travers la spontanéité de l’être humain, ne se manifeste pas uniquement au niveau de l’expression « artistique ». Par exemple, si l’on prend le cas des astronomes qui ont découvert Quaoar, il est envisageable de penser que puisque cette force créative « primordiale » fut la première à se manifester, cela puisse être la raison pour laquelle le nom de Quaoar s’est imposée instantanément à la conscience de ses découvreurs, et ce, avant même que la communauté scientifique lui ait attribué un numéro, le 50000. Ce nombre par réduction théosophique est associé au nombre 5.
L’on remarque que cette réduction ne passe par aucun intermédiaire numérique, tel, par exemple, la réduction du nombre 356 qui passe par le 3+5+6=14 avant d’arriver au 1+4=5. Dans le cas du 50 000, elle se fait instantanément.
Le nombre 50 000 contient l’essence du 5, mais sa multitude de zéros lui confère une valeur de niveau beaucoup plus élevée. Le zéro rejoint la symbolique associée au cercle. Il représente la fin d’un cycle et l’amorce d’un autre. Ainsi, on peut percevoir que le nombre 50000 véhicule la notion de l’accumulation des expériences d’une très grande quantité de cycles d’incarnation de l’âme dans un corps humain.
Le 5, c’est également le nombre de l’être humain. Une première figuration représente son corps avec les bras écartés et les jambes accolées, profilant alors une croix. Ainsi, dans cette configuration corporelle le nombre 5 devient symbole du centre de l’Être humain ou se croisent deux axes opposés par leurs natures, mais complémentaires par leurs fonctions ; l’un vertical et l’autre horizontal. L’axe vertical représente le chemin de canalisation de ces énergies transcendantales émanant du monde souterrain et du ciel. Ces deux énergies s’épanchent à travers le corps humain et s’unissent en son centre. Il y a alors incarnation de l’Esprit dans la matière, représentée symboliquement par la Terre. L’axe horizontal représente alors les énergies générées par la fusion en ce centre des forces verticales. Le nombre 5 devient alors le symbole du centre de l’individu conscient de son appartenance à l’humanité. Conscient de son incarnation au sein de la communauté terrestre, le 5 devient pour l’être humain symbole des cinq sens lui permettant de capter par l’entremise de son corps, la totalité du monde sensible de la matière. Il représente ainsi la notion de la perfection « matérielle » intégrée.
La figure humaine
Une autre figuration imagine l’être humain ayant une position corporelle en équilibre, les bras et les jambes suspendus dans l’univers avec la tête qui semble occuper la « pointe » du haut d’une étoile. La tête devient ainsi le réceptacle des énergies célestes qui s’épancheront à travers son corps, qui deviendra alors une étoile à cinq branches ou un pentagone, symbole du microcosme humain. Il symbolise ainsi l’harmonieux mariage des énergies célestes et terrestres. Il représente la perfection de l’ordre divin incorporés à la nature humaine. Ainsi, l’être humain ressent en son cœur la présence de l’Être universel, en devient conscient, et fusionne avec l’Univers. Il symbolise donc l’union, le centre, l’harmonie et l’équilibre. Ainsi, le 50000 pourrait symboliser cette même forme d’intégration, mais, au niveau de l’âme, qui n’est pas individualiste, et qui recherche l’intégration au Grand Tout.
Ces deux représentations de l’être humain nous ramènent à la notion d’intégration à un groupe associée aux deux communautés d’astéroïdes. La ceinture principale d’astéroïdes nous ramène le sentiment d’appartenir à la communauté terrestre, quant au disque de Edgeworth-Kuiper, il nous évoque le sentiment d’appartenance à une communauté céleste. Cette complémentarité étant symbolisée au niveau du cercle zodiacal par l’axe Vierge – Poissons. On remarquera que l’astéroïde Cérès, premier représentant de la ceinture principale, est généralement associé au signe de la Vierge, et que le couple Pluton-Charon, premier représentant du disque de Edgeworth-Kuiper, est le régent ésotérique du signe des Poissons.
La Terre, lieu de l’incarnation de l’âme dans un corps physique, est également le 5e astre si l’on considère la séquence ésotérique suivante : le 1 correspond à l’astre Solaire ; le 2 à l’astre ésotérique Vulcain ; le 3 à la planète Mercure ; le 4 à la planète Vénus et le 5 au couple Terre-Lune. L’on peut noter également que la Terre a comme domicile ésotérique le signe du Sagittaire, signe zodiacal prédominant dans la détermination de l’apport symbolique de Quaoar, comme on le verra plus loin.
Le nombre 5 est aussi associé dans le Tarot traditionnel à l’arcane majeur du Pape, symbole de celui qui est relié et réceptif au divin et qui sert d’intermédiaire entre le ciel et la terre. C’est le guide éclairé qui cherche à établir l’harmonie et l’équilibre, qui réconcilie et unit, qui AGENCE et qui est en mesure de donner une cohésion a des tendances émergentes différentes.
Le nombre 5 étant associé symboliquement au corps humain, il devient, à travers sa gestuelle, le médium inconscient de l’expression des forces générant la danse. L’on peut alors imaginer que le nombre 50000 puisse représenter un regroupement d’êtres humains qui réagissent, inconsciemment à l’unisson, aux mêmes énergies célestes s’écoulant alors à travers la masse du groupe qui forme ainsi une nouvelle entité à travers laquelle s’exprime une danse de groupe. Ainsi comme l’affirmait Freud, le comportement d’un groupe n’est pas la somme des comportements des individus qui le compose ; le groupe devient une nouvelle entité qui a ses propres comportements. C’est la dissolution des individualités dans la foule ou la masse.
C’est ainsi que la notion d’AGENCEMENT, transposée au niveau d’un groupe de danse, s’exprime à travers la cohésion et l’homogénéité d’une chorégraphie. Cependant, il ressort toujours d’un groupe, un individu qui saura assumer la cohésion du groupe. Et l’individu qui assume ce rôle devient le chorégraphe, symbolisé par Quaoar.
Le cercle : symbole de l'homogénéité
L’une des manifestations de la danse, c’est la marche en cercle autour d’un point central. Cette marche rythmée, ce mouvement de rotation d’un individu ou d’un groupe autour d’un centre, est le tourbillonnement menant à l’extase. Les effets psychosomatiques de ce tournoiement sont ceux que nous pouvons tous expérimenter : la perte du sens de la localisation dans l'espace ; le vertige ; une sorte de dépossession de soi-même ; une extase au sens pur du mot.
Les danses sacrées par lesquelles les exécutants veulent se mettre dans un état « second » où ils se croient en communion directe avec un esprit, se font partout dans le monde, à chaque époque, par un tournoiement. Par exemple, le premier élément de la danse chamanique est un tournoiement autour d'un centre. C'est par cette technique archaïque de la recherche consciente de l'extase que le chamane entre en transe. Ce tournoiement reproduit les mouvements des corps célestes lui permettant de s'identifier ou de s'intégrer au Cosmos. C'est seulement à ce moment-là qu'il peut établir la communication avec les esprits et entreprendre son voyage cosmique lui permettant d’être en communion avec les forces qui animent la nature.
Ce mouvement circulaire rejoint le symbolisme de la recherche de la perfection que l’on peut associer au symbolisme du cercle. Le cercle est constitué d’éléments semblables et représente ainsi l’absence de distinction ou de division. Il est donc symbole de l’indifférenciation et de l’assimilation. Il favorise l’intégration de l’individu au sein d’une entité plus grande, un groupe.
Si l’on fait un parallèle avec le tracé de la trajectoire du déplacement orbital d’un astre, qui est le résultat de l’action de l’ensemble des énergies sidérales s’exerçant sur le corps de l’astre, alors, celui qui possède une trajectoire orbitale circulaire serait en parfait état d’équilibre et d’harmonie avec les énergies émanant de l’environnement sidéral, l’état de perfection.
A titre de matière à réflexion, voici la liste des astres connus possédant un mouvement orbital se rapprochant le plus du cercle parfait :
la planète Vénus, présente à peine une variation de 1,4 % au niveau de sa trajectoire orbitale, elle symboliserait l’harmonisation des principes solaire et lunaire ;
celle de la planète Neptune, avec une variation de 1,8 %, symboliserait l’harmonisation de l’entité que l’on appelle « système solaire » avec le cosmos environnant ;
la Terre avec une variation orbitale de 3,4 % symboliserait l’harmonisation des principes matériel et spirituel au niveau de l’être humain.
S’insérant dans cette suite, Quaoar présente une variation de 3,56 % et symboliserait l’harmonisation de l’âme avec l’énergie divine Universelle.
Comparativement, Uranus présente une variation de 9,8 %, Jupiter de 10,8 %, Saturne de 11,9 %, l’astéroïde Cérès de 17,1 %, Mars de 20,6 %, Mercure de 51,8 %, le couple Pluton-Charon de 66,5 % et l’astéroïde cométaire Chiron de 222,3 %.
La spontanéïté
La danse est « l'Art des gestes », un art abstrait qui atteint l'esthétique parfaite de la beauté, adoptant ainsi les principes d’ordre et d’harmonie définissant le « cosmos ».
Elle se définit comme un moyen de communication et de communion entre les êtres humains, elle est l’expression spontanée des émotions et des langages humains et elle témoigne de la présence de l'esprit « divin » et de sa manifestation spirituelle dans la chair.
Ces propos rejoignent les principes véhiculés à travers l’essence du signe du Sagittaire, et c’est dans ce signe que l’on retrouve le Point de Révélation tropical de Quaoar, 10° 09.
Quaoar représente donc notre faculté qui nous permet de s'harmoniser avec les forces de la nature, le domaine du chamanisme. Alors qu’on développe (ou se réapproprie) une faculté qui nous permet de devenir une voie de communication pour les énergies cosmiques nous permettant de les capter et de les exprimer au niveau de l’environnement dense de la 3e dimension.
On possède tous ce potentiel, qui est plus ou moins développé, et qui s’exprime différemment d’un individu à un autre, soit par la danse, soit par la peinture ou la sculpture, soit par le chant, soit par l’écriture… enfin toutes les formes d’expressions dites créatives, mais qui s’expriment SPONTANÉMENT.
La spontanéité permet d’exprimer ce qui émerge dans notre conscience sans que notre intellect et même notre mental intuitif (que j'associe à Neptune) viennent lui faire obstacle.... on parle alors d'INSTANTANÉITÉ.
On pourrait comparer la spontanéité quaoarienne, à une plume au vent, alors qu’elle se laisse entraîner sans résistance par les multiples courants d’énergies qui interagissent sur elle.
Notre spontanéité, c’est notre capacité à s’harmoniser avec les multiples courants d’énergies " cosmiques " qui nous semblent de prime abord chaotiques mais qui déterminent la trajectoire de notre vie.
La découverte de Quaoar est un nouvel indice tendant à démontrer que la connaissance « intuitive » et la logique scientifique ont tendance à se rejoindre en ce début de siècle permettant ainsi de lever un autre voile et de découvrir la grandeur, la cohérence, et la beauté de la création.
À travers la nature, les énergies « divines », ou galactiques, qui transcendent la matière ont fourni à travers la danse les positions de la posture de l'être humain, symbolisant les manifestations spirituelles et intuitives qui, grâce au chorégraphe céleste, Quaoar, s'articulent et s'organisent pour se manifester par une gestuelle rythmée.
21 janvier 2006
CONCEPTS-CLÉS de L'ESSENCE de QUAOAR
Décomposition théosophique du nombre attribué à Quaoar
5 + 0 + 0 + 0 + 0 = 5
Symbolise l’inspiration, la créativité, la vie équilibrée, l’homme.
Unie harmonieusement le ciel et la terre. Incorporation de l’ordre divin à la nature humaine.
Forme géométrique : le pentagramme.
Faculté
Spontanéité,.notre capacité à s’harmoniser avec les multiples courants d’énergies cosmiques..
Valeurs amérindiennes
Forme d’initiation permettant d’atteindre un état d’harmonie avec la nature, d’apaiser l’adversité, de se purifier des conséquences des tragédies et d’apporter une forme de compréhension sur la nature des événements.
Célébration.
État d’équilibre individuel et en groupe.
L’importance et le respect des liens familiaux.
Éprouver de la reconnaissance envers le Créateur et la Terre-Mère.
Le respect de la nature.
Point de Révélation
Point de Révélation tropical : 10° 09 R Sagittaire
2e décan martien
Un homme affligé assis sur un tabouret, évoque la peur, la lamentation, le chagrin et un esprit craintif.
Degrés existentiel
Phase 296 · Planète : « X » (note du rédacteur : curieux … non ?)
État : Verseau
Arcane II : La Papesse
Niveau : intellectuel ; vécu : existentiel
Degré de mutation, de reconversion et de promotion
Illustration universelle : Des déceptions professionnelles n’arrivent jamais seules.
Illustration secondaire : Un choix difficile pour un jeune couple : s’installer définitivement dans la maison de ses rêves ou bien aller de l’avant en acceptant les mutations et l’instabilité inhérentes à un début de carrière et une journée de travail sans histoire mais le soir la steppe annonce que le lion est mort.
Synthèse : Accepter les grandes mutations de la vie, avec ses joies et ses peines, en prenant racine dans le présent.
Symbole sabian
Acte III : Intégration de groupe
Scène XVII : Abstraction
Troisième niveau : Individuel - Mental
Phase 251 (Sagittaire 11°) : Dans l'aile gauche d'un temple archaïque, une lampe brûle dans un récipient à forme humaine.
Dominante : De nos jours il est important de "retrouver son corps" pour compenser les effets d'une intellectualisation trop prononcée.
« Quelle joie pour celui qui vit son corps comme un temple ! » Milarepa
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