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07.[153] Les géantes gazeuses - Saturne, le Seigneur des Anneaux

 

Saturne, la 6e planète de notre système solaire contemporain

Le Seigneur des Anneaux
se présente sans ses anneaux

 

 Par Richard Doyle



 

La planète Saturne est l’une des quatre géantes gazeuses de notre système solaire . Elle est la dernière et la plus lointaine des planètes dites « antiques ». À cette époque les planètes étaient perçues comme de simples points stellaires, et ce qui les différenciait des étoiles, c’est qu’elles ne scintillaient pas et qu’elles se déplaçaient sur la voûte céleste à travers les constellations zodiacales.

Pour l’observateur terrestre disposant d’une petite lunette d’approche l’anneau de Saturne est assurément le plus stupéfiant spectacle que l’on puisse voir dans le ciel nocturne, au point tel, que sa magnificence éloigne notre regard de l’énorme sphère jaunâtre qui semble flotter au centre de ce qui est en fait un vaste système d’anneaux.

Le 26 juillet 1610, lorsque Galilée pointa sa lunette d’approche vers Saturne, la faible puissance de son instrument (20X) ne lui permit de distinguer que deux taches brillantes de part et d'autre de la planète, mais, qui ne se comportaient pas comme des satellites. Faisant dire à Galilée que Saturne avait des oreilles. Il vit en elles « deux serviteurs aidant le vieux et lent Saturne à faire son chemin », et, à cette époque, Saturne fut considéré comme étant une planète trijumelle.

 

 

Schémas de Saturne
I - Galilée 1610
II – père jésuite Christoph Scheiner 1614
III - père jésuite Giovani Battista Riccioli 1640


En 1612, les deux taches disparaissent. Galilée ignorait que leurs disparitions n’étaient que temporaires puisqu’il fut confronté au phénomène de l’observation de l’anneau vu par la tranche. Un phénomène qu’évidemment Galilée ignorait et qui laissait planer un voile de mystère sur toutes les observations faites par les différents chercheurs de l’époque.

En 1623, Galilée publia dans il saggiatore une gravure basée sur ses observations réalisées en 1616 (lunette 30X), laissant entrevoir pour la première fois les « anses » de Saturne.


Schémas de Galilée – 1616
du père jésuite Giuseppe Biancani avant 1620
de Eustachio Divini – 1647
du père Giovanni Battista Riccioli - 1650


Les modestes instruments optiques de cette époque rendaient très difficile l’interprétation des observations faites de Saturne.

Il faudra pas moins d’un demi-siècle de développement optique pour qu’en 1655, le Néerlandais Christiaan Huygens identifie les deux « anses » de Saturne comme étant un anneau plat ceinturant la planète et n’ayant aucun contact avec celle-ci. Huygens affirma également que cet anneau était constitué d’une unique masse solide. De janvier à octobre 1656, Huygens fut également confronté au phénomène de la disparition des deux bras de Saturne.

 

Schémas de Huyguens
(50x) 25 mars 1655
(90X) 1655
janvier à octobre 1656 les bras ne sont plus visibles
(90X) 12 février 1659


En 1658, Huygens publia son ouvrage Systema saturnium dans lequel il décrivait ses observations de Saturne et de son satellite, Titan. Il expliquait très justement le phénomène de la disparition périodique des anneaux et présenta les observations de ces confrères qui l’avaient précédé.

 

 
Schémas de Huygens
 

 

La structure de l’anneau

En mars 1660, le poète et ami de Huygens, Jean Chapelain, avança l’hypothèse que l’anneau, tel que décrit par Huygens, orbitait autour du corps principal et qu’il serait composé d’une série ininterrompue de satellites joints les uns aux autres.

En 1675, Jean Dominique Cassini découvrit l’existence d’une bande sombre visible sur les deux faces de l’anneau. Il affirma que cette bande était un espace qui séparait physiquement l’anneau, et par conséquent que la planète Saturne possédait deux anneaux concentriques bien distincts composés chacun par une multitude de petits satellites qu’on ne pouvait distinguer les uns des autres. C’est cette bande sombre que l’on appellera par la suite la « division de Cassini ».

En 1865, l’astronome mystique Richard Proctor publia Saturn and its system. Il y décrivait la remarquable vision que l’on pourrait avoir du ciel saturnien alors que la totalité du firmament nocturne serait traversée par un immense arc-en-ciel. Proctor retint également l’hypothèse que les anneaux pouvaient être constitués de corpuscules formant de fins annelets concentriques. Son hypothèse sera confirmée beaucoup plus tard, en 1981, lors du survol des anneaux par la sonde Voyager 1.

   

Illustration de Ron Miller     Dessin des anneaux imaginés par Proctor


L’on sait aujourd’hui que l’anneau est en fait composé d’une série de sept anneaux concentriques identifiés par une lettre qui désigne l'ordre chronologique de leur découverte: D, C, B, A, F, G et E.
 

Voir à la suite de cet article : le 8e anneau de Saturne... un méga.

Chacun des anneaux est extraordinairement complexe puisqu’ils sont formés de plusieurs milliers de fins anneaux élémentaires se présentant sous une multitude de formes : torsadés, ondulés, bien découpés à bord lisse…

 


Les anneaux et les principaux satellites


L’on sait également qu’ils ne sont pas constitués de larges zones homogènes, mais d’une multitude d'agrégats de roches, de gaz solidifiés et de poussières glacées variant en dimensions de 0,0005 cm à environ 10 m.q.

 




Image UV de l’anneau A montrant la "pureté" de la glace.
La couleur vert turquoise indique de la glace quasi pure ;
la couleur rouge indique les glaces les plus "sales", et les couleurs "vert sombre" indiquent des degrés de "saleté" intermédiaires.


Certains anneaux auraient possiblement pour origine la dislocation sous l'effet des forces de marée d’un ou plusieurs satellites amenés graduellement trop près de la planète. Et pour les anneaux plus éloignés et plus diffus, il pourrait s'agir de poussière et de glace qui n'auraient pu s'accrêter en satellite.

L’extraordinaire complexité de cette répartition dans la composition chimique des anneaux, la finesse de leurs bandes et leurs homogénéités, leurs dissociations, et le mode de subsistance dans le vide de si petites particules demeurent encore, à ce jour, un mystère pour les scientifiques.


 

Communiqué de pressse CEA-INSU - 9 juin 2010
Les petits satellites de Saturne sont-ils les enfants des anneaux ?

 

Communiqué de presse de l'université KOBE - 31 octobre 2016

Mystery solved behind birth of Saturn's rings



 

La luminosité des anneaux

Ainsi constitués et fragmentés, les anneaux réfléchissent très efficacement la lumière solaire, au point d’être même plus brillants que le disque de la planète puisque l'albédo  des anneaux varie entre 0,25 et 0,65, alors que celui de la planète est de 0,47. C'est pourquoi les anneaux contribuent significativement à l'éclat de la planète, qui est beaucoup plus brillante lors des solstices saturniens alors que les anneaux présentent à l’observateur terrestre le maximum de leurs surfaces planes.

 

 
Saturne en contre-jour - photographie de la sonde Cassini

 
 

Les variations du visage de Saturne

Puisque le plan des anneaux se confond avec l'équateur saturnien, formant un angle de 26,7 degrés par rapport au plan du parcours orbital de la planète, Saturne, au fil de son parcours autour du soleil, présente alternativement à un observateur terrestre la face supérieure et la face inférieure de ses anneaux. La surface des anneaux étant visualisée optimalement aux solstices  saturniens se produisant dans les signes des Gémeaux et du Sagittaire (voir encadré jaune dans la séquence de photos). La face inférieure étant visible lors du transit de Saturne du Bélier vers la Vierge, et la face supérieure lors du transit de la Balance vers les Poissons.


Esclave des caprices de la mécanique céleste, le bel astre exhibe plus ou moins ses parures de roches et de particules enchâssées dans la glace. Tantôt, il les ouvre grand, donnant à admirer sa collection de disques, tantôt il les resserre, pour n’en montrer que la tranche .


Pour nos observateurs contemporains, les zones de la Vierge et des Poissons constituent la zone des équinoxes  saturniens (voir encadré rouge dans la séquence de photos) alors que le Seigneur se présente sans ses anneaux, du moins en apparence, puisqu’elles sont alors vues par la tranche.

 

 
Les variations du visage de Saturne

 



Les anneaux de Saturne vus par la tranche…
Le rendez-vous des astronomes

Les anneaux de Saturnes se sont révélés être d’une très grande finesse, à un point tel, qu’ils sont pour ainsi dire invisibles lorsqu’ils sont "vus" par la tranche depuis la Terre. Cette position où se manifeste ce retournement visuel du plan des anneaux se présente à intervalles de 13,75 et 15,75 ans quand la Terre traverse le plan des anneaux de Saturne. L’écart de temps entre les deux intervalles étant dû à l'excentricité de l'orbite de la planète.

Mais les anneaux ne disparaissent pas complètement de notre vue, puisque le rebord des anneaux qui nous apparaissent comme de simples lignes peu brillantes continue de réfléchir très faiblement la lumière du Soleil, donnant ainsi l’occasion aux scientifiques de pouvoir mesurer leurs épaisseurs.

 


29 avril 1996


Durant cette courte période, c’est l’éclat du corps principal qui prédomine et non le très brillant éclat des anneaux. Une condition particulièrement favorable aux astronomes qui profitent alors de cette rare opportunité pour observer les satellites qui ne sont plus "noyés" dans la forte luminosité des anneaux, ce qui normalement leur est impossible, puisque leurs très grands éclats masquent ceux beaucoup plus faibles des satellites. C’est alors l’occasion pour les astronomes professionnels et amateurs de pouvoir repérer précisément la position des petits satellites dits « bergers » qui orbitent au sein des anneaux.

Quand les astronomes ont vu la planète nue, ils ont profité de cette situation exceptionnelle pour surveiller étroitement la pléthore des satellites. Lorsqu’on se retrouve dans leur plan orbital (en l’occurrence celui des anneaux), ces derniers exécutent une éblouissante chorégraphie, s’occultant mutuellement et s’éclipsant discrètement dans le cône d’ombre de la planète. Les faibles, comme les brillants, en tourbillonnant chacun à son rythme, participent à la ronde .


On retrace dans les annales scientifiques plusieurs dates où ce phénomène fut observé :

En 1612 alors que Saturne transitait en Poissons, Galilée perd de vue les appendices;

De janvier à octobre 1656 alors que Saturne transitait en Vierge, Huygens perd de vue les deux bras de Saturne;

Du 14 octobre 1714 au 10 février 1715, Maraldi décrit la disparition de l’anneau, alors que Saturne transitait entre le 19° et le 23° du signe de la Vierge en compagnie d’Uranus;

Au début d’avril, le 29 octobre et le 17 décembre 1966, alors que Saturne transitait le 23° du signe des Poissons en compagnie de Chiron;

En novembre 1979 et mars 1980 alors que Saturne transitait le 23° en Vierge;

Le 21 mai 1995, 11 août 1995 et 11 février 1996 alors que Saturne transitait le 23° Poissons, on découvrit, à l’aide des images prises par le télescope spatial Hubble, quatre satellites.

 


22 mai 1995 – 23°10 Poissons tropical
 

 


Éléments de réflexion ésotérique

Sans tirer aucune conclusion, voici certains éléments qui peuvent servir de ligne directrice à nos réflexions sur le symbolisme des anneaux.

L’anneau symbolise un lien, une alliance ou un vœu indissolubles, le destin dont l'être humain ne peut se défaire. Ce qui rejoint l’essence saturnienne liée à son rôle de Seigneur du Karma.

Salomon devait sa sagesse à son anneau, devenant ainsi la source de son savoir, de son calme, de son jugement, ce qui constituait son pouvoir. Mais également, la sagesse est la mère de l’absence d’audace, de hardiesse et d’originalité, car tout est mesuré. Tous des principes associés à l’essence saturnienne.

Le trou central que trace l’anneau est le lieu de passage ou de transformation des énergies célestes. Ce qui nous rapproche de la structure de l’arbre de vie astrologique où l’on retrouve Saturne et Mercure au centre de la structure.

 

C’est également symboliquement le passage du souffle divin, ou électromagnétique, par le centre de l’anneau qui engendre le mouvement giratoire de la roue du destin.

Ce mouvement giratoire de la roue fait écho à nos 7 principaux chakras, un terme dérivé du sanskrit signifiant « roue ». Selon les guérisseurs, ils ressemblent à des tourbillons, ou entonnoirs, d’énergie. Ils servent à absorber l’énergie du champ universel , le souffle divin, qui nous entoure. Pour cette raison l’on parle d’ouverture au sens littéral, puisqu’ils permettent à l’énergie métabolisée de circuler dans et hors de notre aura.

Notre champ aurique est également constitué de 7 couches ou corps éthériques associés à l’un des 7 chakras. Cette constitution microcosmique fait écho à la constitution macrocosmique de notre système solaire constitué de 7 plans, faisant eux-mêmes écho aux 7 niveaux d’évolutions de notre conscience, eux-mêmes liés aux 7 rayons d’énergies. Chacune des vibrations énergétiques de ces rayons correspond à l’une des 7 cordes de la Lyre, et donc à l’une des 7 notes de la gamme musicale, ou fréquence fondamentale correspondant à la hauteur d’un son. Lorsque les 7 notes sont identifiées selon la méthode anglo-saxonne et germanique la série est constituée des lettres A (la), B (si), C (do), D (ré), E (mi), F (fa) et G (sol), ce qui fait écho au fait que l’on identifie les 7 anneaux de Saturne également par ces mêmes 7 lettres : D, C, B, A, F, G et E.

 

L’ASPECT D’UN MICROSILLON 33 TOURS.

Un microsillon est le terme utilisé pour définir un disque de vinyle qui sert de support pour « l’enregistrement » de sons. C’est donc un support permettant de fixer des données, de les cristalliser ou les figer dans le temps.

Selon le Maître Aïvanhov, la matière primordiale à l’état pur possède la capacité d’emmagasiner énergétiquement la mémoire du savoir, ce qui correspond à la matière primitive ayant constitué la nébuleuse originelle ayant servi à la création de notre système solaire. C’est une partie de cette matière primitive, plus ou moins pure, que l’on retrouve regroupée dans les différents anneaux de Saturne.

   

 

Communiqué de pressse NASA - 30 janvier 2017
Les anneaux de Saturne... vue de prêt et en détail. 

 

 

L’AXE VIERGE-POISSONS

23° VIERGE-POISSONS TROPICAL
ou 28° LION-VERSEAU SIDÉRAL


DES POINTS DE TRANSITION, DE TRANSFORMATION ET DE RENAISSANCE

La lumière, émanant du soleil, est réfléchie fortement par les anneaux : c’est le symbole de la connaissance rationnelle et déductive, de l’activité consciente et de l’action.

Durant le transit de Saturne sur les 24ième degrés en Vierge et Poissons, la forte luminosité des anneaux s’estompe. Permettant ainsi aux satellites saturniens d’émerger visuellement à notre vue, et donc à notre conscience, nous révélant ainsi l’essence ou l’aspect « lunaire » de Saturne. Les 30 jours du cycle lunaire d’une nouvelle lune à une autre sont symboliquement liés au cycle saturnien de 29,5 ans, une analogie reconnue depuis longtemps par les astrologues. Cette correspondance étant des plus évidentes lorsque l’on applique la technique astrologique des progressions secondaires, 1 jour = 1 an.

L’essence « lunaire » est porteuse du symbolisme de la nuit, un principe passif où dominent l’inconscient, le rêve et la connaissance intuitive. Elle est également symbole de fluctuation, ainsi à l’instar de la Lune, les anneaux croissent, atteignent leur apogée d’illumination réflective et disparaissent. Ce qui exprime symboliquement le rythme de l’écoulement linéaire du temps, CHRONO, le temps, le nom du Titan père de Zeus, identifié à Saturne par les Romains. La variation de la luminosité des anneaux est donc associée au cycle de transformation ou d’évolution associé à la naissance, la croissance et la mort. Symboles qui sont historiquement associés à l’essence saturnienne dans le contexte du vieillissement qui génère la mort de notre corps physique. Ils symbolisent également, tous comme la Lune, la renaissance, puisqu’après avoir disparu, laissant place à l’essence lunaire des satellites, ils réapparaissent afin de permettre à la vie de croître à nouveau sous la lumière solaire, mais cette fois sur un niveau de conscience plus élevé, nous permettant d’entendent une note de plus haute fréquence.


R.D. ~ Lachine, 22 novembre 2008

Au moment de l’écriture de cet article, Saturne 20°24 en Vierge formait un grand trigone avec Sedna 20°45 Taureau et Jupiter 20°33 en Capricorne conjoint à la nébuleuse planétaire M57 de La Lyre.

 

Voir l'article

Le Seigneur des Anneaux

a un 8e anneau... un méga.

L'essence de Phoebé

 


   

Galilée ~ astéroïde (697)Galilea
Huygens ~ astéroïde (2801)Huygens
Cassini ~ astéroïde (24101)Cassini


Éphémérides de ces trois astéroïdes




Références

Anna Alter et Philippe Testard-Vaillant ~ Saturne, l’année dernière… ~ Science et Vie – Hors série – Le dossier complet des nouvelles planètes - N°196, septembre 1996.

Astronomie – histoire - La découverte des anneaux de Saturne 

Barbara Ann Brennan ~ Guérir par la lumière - Tchou – Éditions Sand - 1995

Richard Doyle ~ Les Nouvelles Frontières de l’astrologie ~ Éditions du Rocher ~ 2006.

Flashespace – Voir et comprendre les images des anneaux de Saturne 

Ron Miller & William K. Hartmann ~ The grand tour - A traveler’s guide to the solar system ~ Workman publisching – New-York – 1993.

Wikipédia – L’encyclopédie libre ~ Saturne (planète) 
 
 

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Date de création : 25.10.2009 @ 14:40
Dernière modification : 27.06.2018 @ 12:38
Catégorie : 07.[153] Les géantes gazeuses
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Son langage simple et la sagesse de ces propos, 

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un grand pédagogue de la spiritualité.

 

 

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Matsuo Bashô

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