Le rôle spirituel des astéroïdes
dans la psyché cosmique
par Rose et Richard Doyle
Le 21 juin 2010, au moment précis du solstice d’été (entrée du soleil en Cancer tropical), on retrouve la planète naine Cérès en conjonction exacte avec le Centre Galactique 27° 0’ Sagittaire (orbe 0° 0’ 02’’).
On peut considérer Cérès comme étant la Mère de tous les astéroïdes, puisque cet astre, découvert en 1801, fut le premier d’un essaim de petits corps que l’on appelle maintenant la ceinture principale d’astéroïde. Cette ceinture se situe entre les planètes Mars et Jupiter.
Ce 21 juin (2010), le Centre Galactique et Cérès forme également un trigone à 1992QB1 ~ 26°59 Bélier.
Ce petit astre toujours sans nom, découvert en 1992, fut également le premier planétoïde d’un deuxième essaim de petits corps transneptuniens que l’on appelle maintenant le disque de Edgeworth-Kuiper (au moment de cette découverte, Pluton qui balaie ce disque de bord en bord était toujours considéré comme étant une planète).
Parcours orbital de 1992QB1
au sein du disque de Edgeworth-Kuiper
Dans un tel contexte de synchronicité entre Cérès, 1992QB1, le Centre Galactique et le moment où la période « d’illumination solaire » est à son maximum dans l’hémisphère nord, j’ai pensé vous transmettre ce texte, "Les astéroïdes sont des pensées lumières", émanant d’une discussion entre Rose et moi même le 9 novembre 2005, alors que Rose relate l’information qu’elle a reçue de son « Compagnon de route » au moment où elle lisait un texte à paraître dans mon futur livre (à cette époque) « Les Nouvelles Frontières de l’Astrologie ».
Voici une portion de ce texte, que Rose lisait à ce moment, extraite du chapitre 2 : Les nouveaux éléments de notre mandala astrologique ~ Les vestiges de notre psyché.
Depuis la relance des programmes de recherche (des astéroïdes), en 1972, les scientifiques ont découvert d’autres raisons que le cataclysme pour s’intéresser à ces petits astres. Ils ont en effet constaté que ces corps ont cristallisé les éléments primordiaux émanant de la nébuleuse primitive et puisque depuis leur formation la majorité de ces petits corps n'auraient subi aucune grande évolution géologique, thermiques ou orbitaux, ils seraient en fait les VESTIGES du système solaire primitif nous permettant de nous renseigner sur les conditions initiales qui prévalaient au moment de la naissance de notre système solaire. Ainsi, ces corps auraient enregistré dans leurs propriétés tous les évènements ayant influencé l’évolution du système solaire depuis sa formation.
Analogiquement, on perçoit qu’ils peuvent représenter les TRACES de la connaissance originelle et immuable constituant le savoir des différentes civilisations formant l’humanité, et par conséquent qu’ils représentent ce qu’on appelle notre mémoire. Ainsi, la très grande diversité de nom associé aux petits astres constitue notre mémoire de notre environnement terrestre et divin, et par conséquent, notre inconscient individuel et collectif. C’est d’ailleurs l’un des principaux attraits que nous amène la multitude de ces noms, car ils sont des ouvertures à la connaissance émanant de nos nombreuses cultures, mais, également, ils sont des liens avec notre entourage immédiat et quotidien. […]
On constate également qu’une grande majorité de noms attribués aux astéroïdes de la ceinture principale sont l’équivalent de monuments commémoratifs érigés en l’honneur d’individus ou d’organisations célèbres et respectées, et reconnues par l’Histoire pour avoir laissé leurs TRACES dans la mémoire collective. Leurs « savoirs » constituent les VESTIGES de la connaissance ayant contribué à l’essor de l’humanité. Ainsi, les astéroïdes de la ceinture principale sont l’équivalent des livres d’une bibliothèque, qui en contiendraient une quantité infinie, dont certains ont déjà été ouverts et lus, pour être ensuite remis dans les rayons et être oubliés, et d’autres n’ont jamais été ouverts et attendent simplement le bon moment pour dévoiler leur contenu. On constatera également, que le premier astéroïde découvert, Cérès, appartient à cette bibliothèque, et que cette déesse symbolise la « culture ».
Voici l’information reçue par Rose (et annoter par moi avec la compréhension que me procure le recul du temps), alors que le 9 novembre 2005 ont retrouvait en interaspect le Soleil 17°10 Scorpion, Cérès 17°10 Sagittaire, 1992QB1 17°58 Bélier, Logos 18°33 Vierge, Varuna 16°58 Cancer, Éris 20°17 Bélier, Sedna 19°09 Taureau.
Les astéroïdes
sont des « pensées lumières »
On peut comparer les astéroïdes aux livres d’une bibliothèque, car ils sont en quelque sorte, l’antichambre des mémoires akashiques, puisque ces pensées lumières sont tirées d’une mémoire d’âmes, rattachées à son registre.
Plus spécifiquement, les astéroïdes (de la ceinture principale située entre Mars et Jupiter) ne sont pas les livres, mais ils forment une liste qui constitue le lexique (ou fichier de référence) de la Grande Bibliothèque. C’est cette antichambre (l’équivalent du plan astral ou émotionnel) qui nous permet de passer de l’inconscient au conscient (passage du plan physique au plan mental).
L’accès à ce hall (antichambre ou lexique) en est maintenant rendu possible, mais seuls quelques élus peuvent accéder à la grande pièce surplombée qui contient les livres de la Grande Bibliothèque (l’équivalent du disque de Edgeworth-Kuiper – plan Christique ou Bouddhique). Cette grande pièce n’est accessible que par un couloir, tel un escalier à surmonter. Les élus sont parvenus à escalader la limite de l’inaccessible pour leurs frères et ainsi, ils n’ont qu’un pas à franchir pour y être.
N’entre pas qui veut, le laissez-passer n’est accordé qu’aux cœurs purs (épuration plutonienne de notre âme) et il peut être révoqué en tout temps advenant son mauvais usage. Les Gardiens justiciers (planétoïdes Rhadamenthe et Varuna) appliquent les lois « ongles et dents » et la chute est fatale, car les grands secrets et mystères doivent le demeurer.
La consignation est strictement préservée. Ce système de préservation est constitué de divers paliers hiérarchisés alors que les archives sont réparties à divers endroits de la Grande Bibliothèque, selon leur importance.
En termes vulgarisés, il y a le hall ou le lexique des astéroïdes (Cérès - ceinture principale); la pièce principale où la grande majorité des registres sont consignés (disque de Edgeworth-Kuiper : 1992QB1); et des pièces secondaires, des salons où il est possible de visionner les grands événements qui ont déterminé le dessein karmique de groupe, de communauté, de civilisation (Éris). On y trouve également les grands courants énergétiques des diverses ères et époques (Sedna); et les prescriptions de Dieu pour sa création.
La Bibliothèque est au centre d’un complexe comportant d’autres demeures adjacentes.
L’âme peut se parfaire en concordance avec son essence et dans le but d’éclairer ses choix d’incarnation ou d’acquérir des connaissances facilitant son retour dans la chair. Pour d’autres, il est nécessaire de séjourner dans des lieux où elles reçoivent aide et miséricorde. D'autres recevront des mandats spécifiques de pair avec les corps angéliques. Enfin, la liste est longue.
Il y a des élus et parmi eux, il y a également hiérarchie. Les justiciers déterminent les louables parmi les louables. Toute graduation se mérite.
Le dévoilement de la fonction des astéroïdes élargira la conscience sur le plus grand et nous en remercions l’auteur, qui en est gracié. Tout acte juste est reconnu en Haut Lieu pour les prophètes inconnus par ses pairs.
Message transmis à Rose par son « Compagnon de route », le 9 novembre 2005.
Merci de nous avoir lus.
Article paru dans le Trimestriel n°3 d'Univers-site - 21 juin 2010
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