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La Lyre est le symbole et l'instrument de l'harmonie cosmique.

Faire vibrer la lyre,c'est faire vibrer le monde.   

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Gustav Holst

Son oeuvre "Les Planètes"

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13. La multidimensionnalité de l'Être - La figure humaine
  
 
 

 

La figure humaine

 

« L’œuvre de la nature est bien plus difficile à comprendre que le livre d’un poète. »
Léonardo da Vinci
 

Léonardo da Vinci ( 1452 ~ 1519)

Le Maître Leonardo di ser Piero da Vinci est né à Vinci, en Italie, le 15 avril 1452. Ce Florentin, génie de la Renaissance, cumule tous les dons, est l'un des plus grands esprits de son époque, et peut-être même de tous les temps.  Il est artiste mais aussi scientifique, peintre, ingénieur, sculpteur, architecte, musicien… A l’invitation du roi de France, François 1er, il passe ses dernières années à Amboise où il meurt le 2 mai 1519.

Il rassembla au cours de sa vie une quantité considérable de pages de notes, dont voici l'une d'elle.

Dans "L'Homme de Vitruve", ainsi nommé parce que basé sur une description des proportions idéales du corps humains formulée par l'architecte romain Vitruvis (+/- 85-20 avant J.C.), Da Vinci fait la synthèse de ses recherches anatomiques et mathématiques. Voulant afficher l'unité des proportions humaines, il représente un double mouvement du corps en l'inscrivant dans les figures géométriques du cercle et du carré.

Da Vinci voyait dans le corps humain une réflexion de l'univers. Pour cette raison, ses études anatomiques étaient nommées cosmografia del minor mondo. Selon une croyance populaire, Da Vinci percevait dans le cercle le domaine des émotions humaines et dans le carré le symbole de la matière.

 

 


Les divines proportions du corps humain

 

 " Dans son ouvrage sur l'architecture, l'architecte Vitruve déclare que les dimensions données à l'homme par la nature s'agencent de la façon suivante : quatre doigts font une paume et quatre paumes font un pied, six paumes font une coudée, quatre coudées font une hauteur d'homme. Et quatre coudées font une enjambée et vingt-quatre paumes font une hauteur d'homme ; il usa de ces mesures dans ses constructions. Si tu écartes les jambes jusqu'à réduire ta taille d'un quatorzième et si tu ouvres les bras jusqu'à toucher le sommet de ta tête avec tes majeures sache que ton nombril sera le centre du cercle formé par tes membres étendus et l'espace entre tes jambes formera un triangle équilatéral.

La taille d'un homme est égale à l'espace compris entre ses deux bras étendus.

De la naissance des cheveux au bas du menton, il y a un dixième d'une hauteur d'homme ; du bas du menton au sommet de la tête, il y a un huitième de sa hauteur ; du haut de la poitrine au sommet de la tête, il y a un sixième. Du haut de la poitrine à la naissance des cheveux, il y a un septième de hauteur d'homme. Des mamelons au sommet de la tête, il y a un quart. La plus large mesure d'une épaule à l'autre représente un quart de la taille de l'homme. Du coude à la pointe du majeur, il y a un cinquième ; et du coude à l'angle de l'épaule, il y a un huitième d'une hauteur d'homme. La main tout entière constitue un dixième ; la naissance de la verge est le milieu du corps. Le pied est la septième partie de l'homme. De la plante du pied au point juste en dessous du genou, il y a un quart d'une hauteur d'homme. De ce point à la naissance de la verge, il y a un quart. La distance entre le début du menton et le nez et entre la naissance des cheveux et les sourcils est la même et, comme l'oreille, représente un tiers de la face."

Leonardo da Vinci

 

 


"La croix est une des figures géométriques les plus simples : une horizontale et une verticale qui se coupent à angle droit. Mais étudions ces deux directions. La direction horizontale est celle de l’étalement, de l’éparpillement ; comme l’eau qui se répand sur une surface. Au contraire, la direction verticale est celle de l’unification ; comme le feu qui s’élance vers le ciel. Il y a dans la forme du feu quelque chose qui rappelle celle de la montagne avec une base et un sommet.

La ligne horizontale est donc celle de la matière, la ligne verticale celle de l’esprit. Et ces deux lignes ne sont pas séparées, elles se rencontrent, elles se « croisent » justement, ce qui montre bien que ces deux directions non seulement ne sont pas incompatibles, mais qu’elles ont aussi quelque chose à faire ensemble.

Le symbole de la croix nous invite donc à continuer à accomplir notre travail dans la matière tout en prenant la direction verticale pour retourner vers l’esprit, la source, le sommet."


Omraam Mikhaël Aïvanhov

 

 

 astéroïde n° 3000 ~ Leonardo

objet de la ceinture principale d'astéroïde

 

Référence


H. Anna Suh, Léonard de Vinci ~ Les carnets. ML Éditions, Paris, page 43

Les mondes secrets de Léonard de Vinci ~ GEO histoire ~ Hors-Serie

Parastone product

 

 Le nombre 5

 Screen Circles ~ Art & Geometry


Date de création : 19.01.2009 @ 18:53
Dernière modification : 28.02.2015 @ 00:12
Catégorie : 13. La multidimensionnalité de l'Être
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La bannière de la paix

Pour être en « harmonie », il faut d'abord « s'accorder »,

et notre diapason est l'énergie qui émane de la constellation de La Lyre

BannierePaix.jpg

Si on se réclame en faveur de la paix,

alors la seule bannière

que l'on devrait agiter

est celle de la Paix,

symbole de l'unité mondiale.

 


Merci de votre visite

 

 

Rûmi

Bien que les chemins

de la recherche

soient nombreux,

la recherche

est toujours la  même.

 

Son langage simple et la sagesse de ces propos, 

font d'Omraam Mikhaël Aïvanhov

un grand pédagogue de la spiritualité.

 

 

Il a su nous inspirer la Science Cosmique de l'Âme.

 

Matsuo Bashô

matsuo_basho.jpg

Ne marche pas

sur les traces des anciens;

cherche ce qu'ils

cherchaient

Sauf si annoté autrement, les extraits du Maître Omraam Mikhaël Aïvanhov

que vous retrouvez sur le site et les publications de "La Lyre du Québec"

sont reproduits avec l'autorisation de Prosveta ©.


 


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