Décembre 2006 — La gematria
Dans mes notes archivées, le 28 décembre 2006, semble être la première fois que je mentionne à Rose, via MSN, le fait que je viens d'utiliser la gematria dite latine ou ordinale. Je lui soulignais cette bizarrerie que je venais d'observer, soit qu'avec « Richard » on obtenait le nombre 61, et qu'avec « Doyle » l'on obtenait également 61.
Je note que j'ai ramené cette notion le 11 décembre 2007 sur le forum Insignis. Et qu'en 2008, sur ce même forum, une option avait été examinée... celle d'utiliser les nombres en les accolant. Par exemple pour Richard Doyle plutôt que d'utiliser 61+61 = 122, on utilisait 6161.
Août 2007
La science des Mayas
C'est lors de notre séjour chez Rose, en août 2007, alors que l'ont était assis autour de sa table, et que l'astéroïde Quetzalcoalt transitait mon ascendant, que spontanément et tout simplement Rose me dit : [...] tu dois examiner le calendrier maya, c'est important [...].
Après avoir fait des recherches, j'ai amorcé l'écriture d'un article le 6 octobre 2007 qui fut complété le 21 octobre 2007 .
J'amorçais mon article ainsi : [...] En vous présentant ce texte, et n’ayant pas la prétention d’être un spécialiste du calendrier maya, vous pouvez de prime abord vous demander quels sont les liens avec le contenu des articles que j’écris habituellement et qui visent entre autres à attirer votre attention sur l’émergence dans notre conscience de l’énergie émanant de la constellation de la Lyre et de son étoile Alpha : Véga. Pour répondre à cette question, je vous invite à lire ce texte d’introduction sur la connaissance du calendrier maya. Il est en très grande partie une traduction et une retranscription de l’enseignement de Ian Xel Lungold. Ian était l’un des principaux vulgarisateurs et diffuseurs de cette connaissance. [...]
C'est en avril 2008 que l'on a fait notre premier voyage au Mexique, et que l'on a visité pour la première fois le site de Chichén Itzá, là où l'on retrouve la pyramide de Kukulcan, l'équivalent de Quetzalcoalt pour les Mayas.
Dans mon livre je m'étais attardé à établir un parallèle entre les structures de la pyramide de Saqqarah et celle du temple de Borobudur, le schéma des sept plans de notre système solaire et la constitution de l'homme que l'on retrouve dans les écrits d'Alice Bailey et la constitution de l'être humain tel que décrit par Barbara Ann Brennan. Entre la fin de 2005 et la conférence donnée à Mexico le 28 et le 29 octobre 2011 (date qui correspondait à la « fin » du calendrier maya, tel qu'étudié par Carl Johann Calemann), j'ai poussé un peu plus loin mes recherches sur les structures des différents monuments que je présentais sommairement dans le livre : grotte de Bruniquel; temple de Gosek; les alignements radiaux de galets en Amérique du Nord; Stonehenge; la pyramide à degrés de Djoser à Saqqarah et le temple de Borobudur. Mais est venue s'ajouter au fil du temps l'étude d'autres structures, principalement ceux-ci: la croix de Muiredach en Irlande; les ziggourats mésopotamiennes; et au Mexique, la pyramide de Kukulcan à Chichén Itzá (2e visite en octobre 2014 avec KrisayaAngel), le site des pyramides circulaires de Guachimontones, alors que c'est KrisayaAngel qui attira mon attention sur cette structure à la suite de sa visite du site en 2011. C'est également avec KrisayaAngel que j'ai découvert en octobre 2011 le sites de Teotihuacan, que j'ai revisité avec elle en octobre 2014, en plus de découvrir le site de Calakmul.
De tous ces monuments, celui qui a suscité le plus ma curiosité c'est la pyramide de Kukulcan. Avec le recul du temps, j'ai constaté que le message de Rose en 2007 : [...]tu dois examiner le calendrier maya, c'est important [...] avait tout simplement été l'amorce d'une recherche qui m'avait amené à graduellement approfondir ce qui était encrypté dans cette pyramide : le lien avec la séquence de Fibonnacci; le cycle orbital de la Terre; le lien entre le cycle de la Terre et les cycles de Vénus; les liens entre les cycles de Vénus, le cycle de rotation interne du Soleil et le cycle de rotation de Véga, l'étoile alpha de la Lyre. Ce qui pour moi venait répondre à une question que je m'étais posée en 2007 au moment de l'écriture de mon article de vulgarisation du calendrier maya : [...] quels sont les liens avec le contenu des articles que j’écris habituellement et qui visent entre autres à attirer l'attention sur l’émergence dans notre conscience de l’énergie émanant de la constellation de la Lyre et de son étoile Alpha : Véga [...]. Toutes ces recherches m'ont graduellement amené à me replonger dans mes anciennes notions sur la lumière, le son, les fréquences et la musique, qui à mon avis sont cryptées dans la pyramide de Kukulcan.
Présentement, en août 2016, c'est cette partie qui est encore à peaufiner. Le résultat devrait, je l'espère, me permettre d'établir un lien entre ce que KrisayaAngel a nommé « La Symphonie Divine » et le mandala astrologique d'un individu, ou sa partition musical au sein de l'orchestre symphonique cosmique. Il y a cependant au moins deux prérequis pour être en harmonie avec les autres membres de cet orchestre : d'abord acquérir une bonne connaissance de notre instrument, et donc de notre état d'être humain multidimensionnelle et ensuite apprendre à l'utiliser adéquatement, et donc d'être en mesure d'assumer notre rôle de co-créateur. Au niveau de l'astronomie-astrologie, un élément qui va nous permettre de faire un pas dans cet apprentissage c'est la notion de la « résonance numérique ».
Août 2011
La résonance numérique
C'est vers le 9 août 2011, alors que Cérès était en conjonction avec la Lune Noire vraie (Terre invisible) et Uranus, qu'a surgi dans ma conscience l'idée d'établir un lien entre les astéroïdes et les étoiles à travers les nombres qui leur sont attribués. Un échange avec Anna (Oeil d'Horos), le 11 août, qui s'interrogeait sur les étoiles fixes, permet de percevoir ce qui animait ma curiosité à cette époque.
[...] Anna, ton questionnement sur les étoiles fixes, c'est la suite logique de l'étude des astéroïdes, car il m'apparaît que les deux sont liés. Car si les petits cailloux ont été qualifiés d'Astéroïdes (ce qui signifie « qui ressemble à une étoile »), ce n'est pas un hasard. Je te suggère également un texte sur le site de La Lyre du Québec, qui mentionne que les astéroïdes seraient des « pensées lumières ». Alors qu'avec Rose, je reprends dans ce texte l'exemple des livres d'une bibliothèque, mais plus évoluées, car chacun des astéroïdes serait uniquement l'équivalent de la fiche de référence d'un livre. Et le livre serait une étoile. Les étoiles sont des sources d'émissions de lumières, et l'information, la connaissance sont véhiculées par la lumière. C'est le principe de l'Esprit Saint, ou encore ce que représentent les langues de feu au-dessus de la tête des apôtres, et donc l'illumination divine par notre capacité à percevoir et donc recevoir cette information, ce que l'on appelle l'Éveil.
Je travaille justement depuis deux jours à établir un lien entre les étoiles et les astéroïdes à partir des numéros des catalogues d'étoiles et ceux des astéroïdes. Tu vois donc la synchronicité de ton questionnement!
Présentement, les étoiles qui attirent plus particulièrement mon attention, c'est l'axe Véga/Sirius, à cause qu'ils sont liés aux Maîtres Ascensionnés. Le terme ascension = expansion de conscience, les Maîtres ascensionnés sont donc des Êtres qui ont atteint un niveau d'évolution leur permettant d'avoir PLEINE CONSCIENCE de la RÉALITÉ divine ou cosmique. Ils sont éveillés.
L'autre axe qui m'interpelle, c'est celle de Bungula (alpha du Centaure) et Alcyone de l'amas des Pléiades. Bungula étant notre voisine galactique, et Alcyone étant selon Barbara Hand Clow, le lieu d'archivage des informations concernant spécifiquement l'évolution de la Terre.
Une autre combinaison à commencer récemment à attirer mon attention, c'est Arcturus et Spica (Épi). Astrologiquement parlant ils sont conjoints sur la trame du zodiaque, cette combinaison pourrait être liée au CROP CIRCLE, car selon certains propos, que l'on retrouve sur le web, ils seraient la manifestation de transmission d'informations provenant des Arcturiens, qui encore selon certains propos, serait l'une des races galactiques préoccupées par notre évolution, tous comme les Pléiadiens le sont. Cette information serait cryptée dans les champs de blé, d'où le lien avec Épi de la Vierge, qui fait référence aux gerbes de blé. On rejoint également dans son essence l'astéroïde Cérès (Céréale) qui est lié au processus initiatique, et donc au dévoilement de la connaissance.
Mes recherches visent présentement à comprendre le processus cyclique de l'âme en incarnation. Et donc, quel serait les étoiles où les éléments galactiques qui seraient en quelque sorte les ascenseurs descendants de nos âmes en incarnation, et l'inverse à notre mort, qu'elle est le processus de remonter vers les étoiles.
C'est là où j'en suis rendu, du passage naturel des "fiches" associées aux astéroïdes vers les "livres" associés aux étoiles[...].
Cette « idée » fut mise en veilleuse jusqu'en juillet 2012, d'une part à cause de la planification et de notre déménagement vers l'Ouest Canadien, et d'autre part par le temps que j'aie du consacré à la mise au point de ma conférence l'Être cosmique que j'ai donné à Mexico City le 28 et le 29 octobre 2011 à l'invitation de Krisaya Angel.
On a quitté le Québec le 1er juillet 2012, et nous sommes arrivés le 25 juillet sur l'Île de Vancouver, à Qualicum Beach. Dans la chambre où l'on dormait on avait directement au-dessus du lit un puits de lumière (skylight), et lors de notre première nuit, je me suis éveillé à 1 h 30, et stupéfait d'émerveillement de voir au-dessus de ma tête cette fascinante vision de la Voie lactée. Je me suis levé et sorti à l'extérieur pour admirer ce que l'on ne peut entrevoir dans les grandes villes.
À ce moment précis deux choses m'ont traversé l'esprit.
D'abord cette pensée : [...] la connaissance nous est retransmise par la lumière, chaque étoile et les galaxies émettent de la lumière, ils transmettent de l'information reçue par l'observateur terrestre. Ce sont des pensées semences, des inspirations. C'est notre pensée qui crée ce qui se manifeste dans la matière… à partir de la lumière (connaissance) transmise par les étoiles et les galaxies [...].
Puis ces directives :
1- Identifier les étoiles alpha des 88 constellations… et principalement les 13 constellations du zodiaque stellaire : toute information liée à ces étoiles
2 - établir la liste des correspondances numérique avec les astéroïdes
3 - établir le thème de la découverte de l'astéroïde en lien avec SON étoile.
Instantanément, je me suis posé la question suivante... mais parmi les nombreux catalogues d'étoiles, lequel je dois utiliser? La réponse fut également instantanée... de commencer avec le catalogue Hipparchos (HIP).
La clarté du message dans mon esprit me confirmait que cette recherche était l'une des raisons de notre venue sur l'île de Vancouver, la synchronicité était trop grande.
2012-2016: forum AstrologicA HELIOcentrica
Bannière réalisé par Sabine
C'est en avril 2012, sur Facebook, que je rencontre Isabelle Cottard L'un de ses domaines d'explorations à cette époque était l'astrologie héliocentrique. Elle administrait d'ailleurs un groupe Facebook de discussion sur ce sujet, groupe auquel je me suis joint. Cependant, puisque la plateforme Facebook n'était pas adaptée pour favoriser un accès historique aux échanges, on s'est tourné vers une plateforme d'échange plus traditionnel et adapté aux besoins de compilations de l'information. On a donc créé conjointement en mars 2013, le forum « AstrologiA HELIOcentrica », qui s'était donné comme objectif premier d'examiner le potentiel qu'offre une vision héliocentrique de l'astrologie.
Après 3 années de remue-méninges, il découla de nos observations et de nos réflexions l'évidente nécessité de réunir trois disciplines qui aujourd’hui sont encore très indépendantes, à savoir : l'Astronomie, l'Astrologie et la Sagesse santé, ce qui constitue la base trinitaire de ce que j'ai nommé la « Science cosmique de l'âme », qui est en quelque sorte la devise du site web La Lyre du Québec. Cette trinité est un écho du mot « médecine », mais tel que défini par l'enseignement ancestral des nations autochtones d'Amérique du Nord, et qui signifie, en partie, « le pouvoir de faire le bien », et ce pouvoir s'acquiert par la connaissance et la compréhension des forces qui gèrent l'univers. Ce qui est le domaine d'apprentissage de Mercure, mais d'enseignement de Chiron.
C'est pour cette raison qu'en juillet 2016 le nom du forum fut ramené à « AstrologiA », les deux A faisant écho à Astronomie et Astrologie.
Personnellement, les principaux éléments qui ressortent à ce jour (août 2016) des informations et des observations accumulées sur le forum sont:
- l'importance de revenir à l'observation astronomique, et donc à la réalité de notre système solaire tel qu'elle s'est manifestée dans son environnement cosmique;
- l'importance de remonter à la source de la fonction, du rôle et de l'essence des « choses ». Car très souvent on parle des mêmes « choses », mais en utilisant des termes différents, surtout dans le domaine de l'ésotérisme et celui de la guérison énergétique;
- la complémentarité des différents systèmes astrologiques; géocentrisme, héliocentrisme et les multiples possibilités de sectorisation de la trame de base du mandala astrologique;
- l'extrême importance de la gematria et des résonances numériques dans une démarche de personnalisation du mandala astrologique;
- les conjonctions avant naissance nous permettant de mieux percevoir le dessein de l'âme tel que "planifié" avant l'incarnation en lien avec l'étude des nœuds planétaires et astéroïdiens. En géocentrisme Soleil/Lune ou Nouvelle Lune avant naissance, et en héliocentrisme Mercure/Terre, Vénus/Terre et Mars/Terre.