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Documents de la série
La microAstrologiA ou la diversification astrologique
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LE FIL D'ARIANE DE LA microASTROLOGIA
Cordon d'outils pour vous permettent de vous y retrouver dans notre mandala solaire
Facette technique de l'astronomie des planètes mineures
• identifier les différents groupes de planètes mineures
• identifier leurs localisations dans la trame héliocentrique de notre système solaire
• identifier leurs caractéristiques orbitales
• identifier le nom et le numéro permanent d'un objet
• obtenir ses éphémérides astrologiques.
Version 1.9.7 - 25 septembre 2024
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CHRONIQUE HISTORIQUE DES PLANÈTES MINEURES
planétologie - astrologie - planètes mineures
Volume 1 - Les quatre énigmes - 1543 à 1928
Version 1.10 - 21 août 2023
Volume 2 - They're watching you - 1930 à 2023
Version 1.19.1 - 17 avril 2024
Voir également « Publications microAstrologiA en français » extrait du volume 2
Version 1.9.1 - 17 avril 2024
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Vol 1
Vol 2
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8.1.3 |
Obtenir les coordonnées de la découverte d'une planète mineure
Version 1.20 - 3 septembre 2023
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Les bases de la
microAstrologiA
par Richard Doyle
Si on examine la sémantique des mots ASTRONOMIE et ASTROLOGIE, ASTRO signifie "astre", et -nom(i), du grec nómos , signifie soit "ordre et loi", soit "la connaissance"; alors que log-(ie), du grec logia, signifie « étude », mais aussi « parole ou discours ».
Ainsi donc, l’Astronomie signifie « la connaissance des astres, qui est règlementée » et l’Astrologie signifie « l'étude des astres », mais surtout d'être à l'écoute de leurs « discours ». Lorsqu'il me passe quelque chose par la tête, j'ai souvent l'habitude de dire qu'un astre viens de me parler.
Le mot « microAstrologie » signifie donc « l'étude (logie) des petits (micro) astres (astro) », mais également « laisser les petits (micro) astres (astro) nous parler (logie) »
La façon d'écrire ce mot reflète le fait que la microAstrologie est une forme de soutien à l'Astrologie, c'est pour cette raison que le mot Astrologie demeure prépondérant, alors que le préfixe micro lui sert de soutien.
Ainsi donc, la microAstrologie vise uniquement à mettre l’emphase sur la pertinence d'intégrer de façon méthodique les planètes dites "mineures" (astéroïdes et planétoïdes) dans un mandala astrologique.
La quantité phénoménale de planètes mineures et par conséquent, l'ampleur, et la somme importante d'information à traiter les concernant ont générés une série de difficultés et d'appréhensions au niveau de la communauté astrologique. Difficultés et appréhensions qu'avaient d'ailleurs les astronomes avant qu'eux-mêmes soient mieux outillés. C'est d'ailleurs grâce à cette évolution technologique, dont ont profité nos astronomes au milieu des années 70, que dorénavant la communauté astrologique peut également accéder aux données scientifiques recueillies.
Ces données sont directement accessibles sur le site WEB du
Jet Propulsion Laboratory de la NASA en utilisant son outil HORIZON.
Ce sont ces mêmes données qui sont en partie utilisées dans certains logiciels d'astrologies.
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On peut donc beaucoup plus facilement intégrer dans les études astrologiques les « nombreux éléments » constituant notre logos ou psyché solaire, qui est en résonance avec notre propre psyché, nous permettant ainsi de réellement mettre en pratique les propos d'Hermes dit trismégiste que l'on retrouve dans la "Table d'Émeraude":
« Il est vrai sans mensonge, certain et très véritable: Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas; par ces choses se font les miracles d’une seule chose. Et comme toutes les choses sont et proviennent d'un, par la médiation d'un, ainsi toutes les choses sont nées de cette chose unique, par adaptation. » [1]
Vous retrouverez dans les pages de la présente rubrique d'introduction à la microAstrologie une présentation sommaire des différents regroupements de planètes mineures (astéroïdes et planétoïdes) ainsi que des références à des outils de travail vous permettant d'effectuer vos démarches de recherches sur l'essence et l'utilisation des planètes mineures.
Les nouveaux éléments de notre mandala astrologique
La quête du Soi donne un sens à notre vie en nous guidant spirituellement dans notre exploration de la recherche du « dieu en nous ».
Analogiquement, au niveau de notre système solaire, ce « dieu » est d’abord constitué d’un « feu spirituel central » correspondant à notre Soleil qui est le générateur de notre force vitale, mais également l’équivalent du centre de notre conscience et de la totalité de la « psyché solaire ».
Il est ensuite présent dans l’essence de la totalité des éléments assujettis au champ gravitationnel du Soleil, et qui constitue notre environnement planétaire. Tous ces éléments étant porteurs de la « diversification ».
Mais très peu de ces éléments nous sont visibles à l’oeil nu, puisqu’à l’exception du Soleil, la totalité de ces éléments sont des corps obscurs qui ne produisent pas ou peu de rayonnement par eux-mêmes.
De ce fait, si l’on est en mesure de les percevoir à l’oeil nu, où a l’aide d’instrumentations sophistiquées d’amplification de notre perception, c’est uniquement parce qu'ils réfléchissent la lumière qu'ils reçoivent du Soleil
Ce que je vois, est ce qui est:
le Septénaire de la tradition astrologique
Le septénaire est constitué des corps célestes qui semblent se déplacer sur la voûte céleste et qui sont visuellement perceptibles à l’oeil nu : le Soleil, Mercure, Vénus, la Lune, Mars, Jupiter et Saturne.
Ces astres furent repérés dès la préhistoire et leurs observations, à l’exception de la Terre, ont constitués les bases émanant de la tradition astrologique antique.
La tradition astrologique contemporaine
En 1781, la découverte d’Uranus permit à cette époque de repousser les limites de la dernière planète antique, et par le fait même, celle de notre conscience collective.
Uranus est l’un des deux astres de notre système planétaire qui définit la limite extrême de notre perception visuelle, l’autre étant l’astéroïde Vesta appartenant à la ceinture principale (figure 1). En effet, pour repérer Uranus à l’oeil nu, il faut non seulement bénéficier de conditions d’observation des plus favorables, mais également se munir d’une bonne carte céleste.
Puis en 1846, l’on découvrit la dernière et la plus petite des géantes gazeuses, la planète Neptune. L’on venait de pénétrer l’invisible, puisque cet astre est totalement invisible à l’oeil nu. S’ajouta en 1930 un objet orbitant dans les profondeurs de notre système solaire externe et que l’on découvrit à l’aide d’observations faites sur des clichés photographiques, on l’appela Pluton.
Avec c’est trois astres dit contemporain, l’on retrouve la panoplie d’astres que l’on pourrait qualifier dorénavant de « traditionnel ».
Le langage céleste de l'astrologie
Au-delà de ces neufs corps célestes, ils en existent des miliers d’autres, que l’on appel généralement « astéroïde », ou « petit astre », ainsi qu'une nouvelle série constituée des « planètes naines » (Cérès, Pluton, Haumea, Makemake et Éris).
Toutes ces nouvelles constituantes de notre environnement planétaire auront également leur mot à dire dans la lecture d'un mandala astrologique, puisque ce sont ces astres qui nous permettront d’accéder et de nous adapter aux nouvelles dimensions et réalités de notre conscience collective.
Ainsi, comme l’affirmait Dane Rudyar:
"La taille des astéroïdes n’est pas le facteur important pour essayer de découvrir leur sens dans la structure totale de l’héliocosme. Ce qui est significatif, c’est leur grand nombre et le fait qu’ils abondent entre les orbites de Mars et Jupiter.
C’est vraiment la place qu’occupe chaque planète dans le système solaire - la région de l’espace héliocosmique où elle tourne - qui lui donne sa signification abstraite ou archétypique dans le langage céleste de l’astrologie, surtout si cette place est aussi interprétée par rapport à l’orbite de la Terre." [2]
Dane Rudhyar
Conservez bien présente à votre esprit cette remarque, car j'ai réalisé qu'elle fut l'étincelle qui germa au fil de mes différentes réflexions sur l'apport des petits astres au profit de l'expansion de notre conscience individuelle et collective.
L'inobservable multiplicité
C’est le 1er janvier 1801 que le prêtre et astronome italien Giuseppe Piazzi découvrit « par hasard » le premier petit astre qu’il nomma Cérès. Mais surprise ! On découvrit en 1802 un autre petit objet se déplaçant dans cette lacune, et encore un autre en 1804, et un autre en 1807. On les nomma Pallas, Junon et Vesta, toutes des déesses de la mythologie romaine.
La « ceinture principale d'astéroïdes » venait d’émerger dans la conscience de l'humanité, établissant en même temps une nette démarcation entre les astres telluriques (système solaire interne) et les gazeux (système solaire externe) (figure 1).
Figure 1
Localisation de la ceinture principale
Fait à noter, à l’exception de Vesta, tous les astéroïdes sont des astres qui sont invisible à l’œil nu, nous introduisant ainsi à des niveaux plus subtils de notre conscience.
Malgré le fait que le premier astéroïde, Cérès (et depuis 2006, l'une des cinq planètes naines avec Pluton, Haumea, Makemake et Éris), fut découvert en 1801, ce domaine ne connut qu’un faible développement du côté de l’astrologie qu’en 1958, alors qu’un chercheur français, André Delalande, à travers une approche initialement théorique attribua à Cérès la maîtrise du signe de la Vierge [3].
Pour en savoir plus sur les déesses
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Ces deux petits recueils réunissent une somme de documentation rassemblée par Anna Lorrai. Son objectif et de permettre de se faire une idée plus précise de la planète naine Cérès et de l'astéroïde Junon. Vous y trouverez ainsi plusieurs éléments de réflexion : mythologique, psychologique, astronomique, ainsi que plusieurs exemples et références d'astrologues les ayant déjà concrètement travaillés.
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Le petit livre bleu de Cérès
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Le petit livre bleu de Junon
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Pour les télécharger, cliquez sur une couverture. Attention les livres sont compressés au format zip.
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La classification des astres
dans le mandala solaire
L'historien de l'astronomie Clifford Cunningham, après 30 ans de recherche (résultat présenté en octobre 2013 ), a retracé que c'est bien l'astronome William Herschel qui en 1802 proposa et utilisa en premier le terme "astéroïde", mais que le nom lui avait été suggéré par Charles Burney Jr, un savant dont le domaine d'étude était la Grèce. Le terme provient du grec « astêr » (étoile) et « eidos » (aspect), signifiant ce « qui ressemble à une étoile ».
William Herschel
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Charles Burney Jr.
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Voir l'article "Why do we call them "Asteroids" du site
Les termes, « petite planète » et « planétoïde » sont également utilisés puisque ce sont des petits corps qui orbitent autour du Soleil comme les planètes.
Personnellement, j’utilise également le terme « petit astre » qui est plus généraliste.
Mais aujourd’hui (2007) les astres qui reçoivent au moins une étiquette numérique sont classifiés grosso modo selon les critères suivants :
une PLANÈTE est un corps qui orbite autour du soleil possédant un volume très important et une forme sphérique ;
un PLANÉTOÏDE est un corps qui orbite autour du soleil possédant un volume trop petit pour être qualifié de planète, mais qui est également trop gros pour être qualifié d’astéroïde, de plus il possède une forme sphérique. De ce nombre on retrouve les PLANÈTES NAINES ;
un ASTÉROÏDE est un corps qui orbite autour du soleil possédant une très petite masse et une forme irrégulière qualifiée de patatoïde (figure 2);
Figure 2
Astéroïde de forme irrégulière
un SATELLITE est un corps qui orbite autour d’une planète, il peut être de toutes les grosseurs et de toutes les formes.
Figure 3
Une partie du système jovien
Par exemple, les satellites de la planète Jupiter (figure 3), qui possède le plus grand nombre de satellites connus à ce jour (mars 2005), pourraient se retrouver dans l’une des trois catégories précédemment mentionnées s’ils orbitaient autour du soleil. L’un d’eux, Ganymède (figure 4), est même supérieur en volume à la planète Mercure.
On retrouve finalement les CORPS COMÉTAIRES (figure 5), qui sont également assujettis à l’influence gravitationnelle du soleil.
Figure 5
Comète de Halley
La ceinture principale
Les astéroïdes sont classés en fonction de leur localisation au niveau du système solaire.
Ainsi, on retrouve la majorité des astéroïdes dans une zone comprise entre les orbites de Mars et Jupiter, où ils sont confinés dans ce qu’on appelle la « ceinture principale » (voir figure 1).
Cette ceinture regroupe environ 96 % des petits corps découverts à ce jour et, pour la majorité de ces astéroïdes, leurs plans orbitaux sont plus ou moins circulaires, ressemblant à celles des planètes. Le seul corps de cet immense groupe qui aurait pu recevoir le qualificatif de planétoïde est Cérès n°1. Il reçut d'ailleurs le qualificatif de planète naine en 2006 (figure 6).
Figure 6
La planète naine Cérès et les astéroïdes de la ceinture principale d'astéroïde
Les AAA
Le reste des astéroïdes constitue divers groupes qui se répartissent de la façon suivante :
un premier groupe, qu’on qualifie de AAA, rassemble les astéroïdes qui orbitent dans une zone que l’on appelle le système solaire interne et qui s’étend entre le Soleil et la ceinture principale.
C'est dans cette zone que l'on retrouve les quatre planètes dites telluriques : Mercure, Vénus, le couple Terre-Lune et Mars.
Ces astéroïdes, aux trajectoires orbitales très excentriques, se subdivisent en trois sous-catégories : les Amors, les Apollos et les Atens (figure 7). Selon leur catégorie, l’un de ces astéroïdes viendra naviguer aux abords des planètes telluriques et, dans certains cas, viendra pénétrer et même traverser la ceinture principale d’astéroïdes pour se rapprocher de l'orbite de géante Jupiter.
Figure 7
Les AAA
Les Troyenne jovienne
Un second groupe est composé de deux amas d’astéroïdes qui escortent la majestueuse planète Jupiter. Les deux amas, qu’on qualifie de Troyenne jovienne (figure 3), partagent l’orbite de Jupiter, alors que le premier amas se situe 60 degrés à l’avant de la planète et l’autre, 60 degrés à l’arrière (figure 4).
Figure 3
Groupe des Troyennes joviennes
Figure 4
Groupe des Troyennes joviennes
Les Centaures
Le troisième groupe est celui des Centaures (figure 5) et, il inclut Chiron.
Ce groupe orbite dans la zone du système solaire externe où on retrouve les quatre géantes gazeuses : Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune.
Cette zone est délimitée en amont par la ceinture principale d’astéroïde et, en aval, par la frange du disque de Edgeworth-Kuiper.
Figure 5
Groupe des Centaures
Le disque de Edgeworth-Kuiper
Un quatrième groupe est composé des objets orbitant au-delà de la géante Neptune et qui se regroupent dans la zone qu’on appelle le disque de Edgeworth-Kuiper (figure 6).
Un premier sous-groupe est celui des Plutinos et inclus le système Pluton~Charon~Nyx~Hydra. Ils possèdent tous des orbites très excentriques les amenant à se rapprocher de l’orbite de Neptune auxquelles ils sont gravitationnellement assujettis.
Le second sous-groupe est constitué par les « Cubewanos » (trans-neptuniennes classiques) qui possèdent tous une orbite relativement circulaire qui les confine à l’intérieur du disque. Ces astres sont indépendants de l'effet gravitationnel de Neptune.
Cette zone est également le réservoir des comètes de courte période, telle celle de Halley.
Figure 6
Groupe du disque de Edgeworth-Kuiper
Au-delà de ce disque, on atteint une zone encore mal définie, où l'on retrouve les derniers venus de notre système solaire :
136199Éris (2003UB313) (figure 7), qui est l'une des cinq planètes naines (les quatre autres en date du 20 septembre 2008 étant Cérès, Pluton, Haumea et Makemake) ainsi que le planétoïde Sedna (figure 8).
Cette zone pourrait être qualifiée de l’antichambre du nuage de Oort qui, lui, se retrouve à l'extrême limite de l'influence gravitationnelle de notre Soleil. Le nuage de Oort constituant un vaste réservoir où l'on retrouve des millions de comètes à longue période.
Figure 7
2003 UB313 ou 136199Éris
Figure 8
Sedna
On retrouve aussi d’autres petits objets sans aucune classification spécifique, tels les Damacloïdes, qui sont tous dispersés un peu partout au niveau de la sphère solaire. Enfin, de nouveaux groupes commencent à peine à se dévoiler, comme les troyennes martiennes et les neptuniennes, et deux autres, qui font l’objet de spéculation de la part des scientifiques qui anticipent des regroupements au niveau des orbites de Mercure et de la Terre.
Un vaste champ de découverte
En 2005, on avait découvert au niveau de l’ensemble du système solaire environ une trentaine de planétoïdes et d’astéroïdes ayant un diamètre supérieur à 200 km, et les nouveaux champs d’explorations qui permettront d’en découvrir de nombreux autre sont le disque de Edgeworth-Kuiper et l’antichambre du nuage de Oort.
Figure 9
Certains objets situés au-delà de l'orbite
de Neptune comparés à la Terre
En ce qui concerne les astéroïdes orbitant en amont de la planète Neptune, nous avons probablement découvert 99 % de ceux ayant un diamètre supérieur à 100 km et environ 50 % de ceux ayant un diamètre comprit entre 10 et 100 km.
En ce qui concerne les plus petits, nous en connaissons un très petit nombre comparativement à la population totale, puisqu’il existe sans doute des millions de ces astéroïdes de taille lilliputienne.
L'unicité de l'Être
Ce sont tous ces éléments sidéraux qui meublent notre « mythologie personnelle » et qui nous permettent d’établir des liens avec les « mythologies collectives ».
Ainsi, la volonté individuelle d’utiliser certains astéroïdes, planétoïdes et éléments galactiques dans l’analyse d’un thème astrologique est l’équivalent de la volonté qui nous anime de procéder à l’analyse de nos rêves, alors que l’ensemble de ces ingrédients célestes est le reflet de tous les éléments qui viennent animer notre sommeil et notre vie onirique.
Ainsi, le besoin pour une personne d’intégrer graduellement ces constituantes, à l’intérieur de son thème astral, dénote une volonté individuelle d’un besoin d’évoluer spirituellement en recherchant toujours davantage des liens de connexion, et donc des aiguilleurs, qui généreront une compréhension des raisons de notre incarnation dans notre environnement terrestre.
Tous ces éléments génèrent un puissant sentiment qui tend à nous confirmer l’interconnexion, et donc l’unicité, qui existe entre le macrocosme et le microcosme, tendant ainsi à nous confirmer que le concept de l’isolement de l’être humain, et de son environnement terrestre, du reste de l’Univers, perd toute signification.
Paradoxalement, plus l’être humain a émietté son univers pour mieux l’approfondir,
et plus il s’est rapproché de son unicité.
La suite de cette rubrique
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