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Nous n’avons pas d’âme. Nous sommes une âme. Mais nous avons un corps.   Clive Staples Lewis

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Le Centre Galactique - La Demeure de Dieu

 

"Que faisait Dieu avant la création du monde?"

Saint Augustin

 
Nous allons faire ensemble une incursion dans notre voisinage intersidéral, hors de l’environnement de notre cocon solaire délimité par le nuage de Oort,

alors que l'on va déplacer le centre de notre conscience vers le point sidéral autour duquel gravitent notre Soleil, le point qui marque le centre du mandala de notre galaxie, la Voie lactée.

 




Entrons dans "La Demeure de Dieu"

Accéder à la page "La demeure de Dieu"
par Richard Doyle 

 

Le Centre Galactique serait associé au 9e niveau de notre conscience

(la 10e étant la résultante synergique des 9 autres) 

qui me permet d’être conscient que je suis éternel 

et de partager mon expérience des autres dimensions 

avec les autres entités qui ont atteint cet état.

 

 

Les « univers-îles »

Si on remonte à 1750, on aurait pu lire à cette époque un ouvrage écrit par le théologien et astronome anglais Thomas Wright, « Théorie originale ou nouvelle hypothèse sur l’Univers ».

Dans ce livre il représente l’Univers sous la forme d'une mince enveloppe sphérique composée d'étoiles en orbite autour d'un point central invisible et de masse importante. De cette idée, il perçut la Voie lactée comme étant composé d’une multitude d’étoiles réparties et formant une sphère qui s’étendrait dans l’espace. Toutes les étoiles de cette sphère, y compris le Soleil, étaient animées d'un lent mouvement de révolution autour du centre de cette sphère galactique que Wright appela la Demeure de Dieu. Ainsi, l'apparence de grand anneau formé par la Voie lactée autour de la Terre, un aspect connu depuis la plus haute antiquité, n'était en fait, selon Wright, due qu'au très grand rayon de cette sphère, ce qui rendait par conséquent ce centre invisible depuis la Terre. Il supposa également que d'autres systèmes stellaires pouvaient exister à d'énormes distances de la nôtre. Wright devenant ainsi l'un des précurseurs de la vision moderne du cosmos.

 

 

 

 

La Voie Lactée

Photographie courtoisie de Philippe Moussette

 

 

Appelée galaxie (de gala = lait) par les Grecs, via Lacta par les Romains, elle devait son origine, d'après la mythologie ancienne, à quelques gouttes de lait qu'Hercule (Heracles /Grec), à qui Junon (Héra /Grec), apaisée par Minerve (Athena /Grec), avait consenti à donner le sein, en fit jaillir en la mordant.

 

Junon consenti à donner le sein à Hercule 

Pierre Paul Rubens
La naissance de la Voie Lactée ~ Madrid, Museo Nacional del Prado

 

 

 

D'autres poètes font de la Voie lactée le sillage enflammé laissé par Phaéton dans sa course désordonnée à travers le ciel sur le char du Soleil, ou encore, comme Ovide, le chemin des Dieux, la voie de l'Immortalité, qui conduisait les héros au palais de Jupiter.

 

 

 

 

En 1755 le philosophe allemand Immanuel Kant dans son ouvrage « Histoire générale de la nature et théorie du ciel » reprend les idées cosmologiques de Wright et parvint à une formulation très proche des théories modernes de la formation des galaxies. Selon Kant, la Galaxie est tout simplement un grand disque aplati et tourbillonnant d'étoiles, avec un gonflement central.

C’est à partir d’une idée formulée en 1734 à partir des visions et des révélations reçut en rêve par le philosophe et mystique suédois Emmanuel Swedenborg, que Kant poussa plus loin ces hypothèses. Ainsi, il avança l’idée d’une hiérarchisation de l’Univers à une échelle jamais imaginée auparavant. Notre Galaxie faisant partie d’une myriade de systèmes stellaires, les « univers-îles », toute de dimensions similaires et séparées par de très grandes distances. Ces galaxies sont également animées de mouvement divers et peuvent se regrouper en amas de galaxies. Ces derniers pouvant également se combiner en système de plus en plus gros, et ce, à l’infini.

 

Emmanuel Swedenborg

Astéroîde 3947Swedenborg

 

 

Bien que non fondées sur des observations, les intuitions de Kant ont marqué le début d'une période de changements profonds au niveau des théories astronomiques de l'époque. La présence de systèmes d'étoiles infinis déplaçait l'homme à la périphérie d'un Univers de plus en plus complexe et aux dimensions encore plus démesurées.

Dans cette vision, tout comme la Terre avait perdu auparavant son statut de « centre de l’Univers », notre Soleil perdait lui aussi ce titre. Ce qui obligea les astronomes de l’époque à se lancer dans des recherches totalement nouvelles quant à la forme, les dimensions et les propriétés du système stellaire dans lequel on se trouve.

 

Un trou noir supermassif

Plus récemment, soit en 2002, les scientifiques ont découvert que le point central de notre galaxie n’était pas une étoile, mais un trou noir supermassif qui se situe, pour un observateur terrestre, dans la constellation du Sagittaire[1] à une distance d'environ 26 000 années-lumière de notre Soleil, ce point fut baptisé Sagittarius A*.

Venez voir les étoiles du Centre Galactique sur

Le trou noir géant de notre Voie Lactée s'est réveillé il y a 300 ans

FUTURA SCIENCES

ZOOM SUR LE TROU NOIR DE NOTRE GALAXIE

 

L’histoire du processus de cette découverte s’amorça en 1963 alors que Maarten Schmidt et Jesse Leonard Greenstein découvrirent le premier quasar situé à 2 milliards d’années-lumière. Les quasars sont les objets célestes les plus lumineux qui existent et qui font partie d’un type de galaxie éloignée et très rare, les galaxies à noyau actif. Un quasar est le résultat de l'accumulation de gaz réparti en un disque en rotation autour du noyau d’une galaxie et qui génère jusqu'à 100 000 fois plus d'énergie que celle libérée par toutes les étoiles de sa galaxie, et ce, dans une région aux dimensions très restreinte par rapport à celle de la galaxie qui l’abrite.

 

Voir sur le site EarthSky, l'article de Deborah Byrd, Maarten Schmidt and quasars

SavoirPlus.jpg

Pour expliquer l’existence des quasars, les scientifiques émirent l’idée de l’existence au sein de ces galaxies des trous noirs supermassif. Ces trous, en aspirant suffisamment de gaz, déclenchent un processus permettant aux noyaux de ces galaxies d’atteindre un état actif très énergétique et extrêmement lumineux, ce qui produit les quasars. Ce phénomène est décrit comme une sorte de trou sans fond où tout ce qui y tombe, y compris la lumière, ne peut en ressortir. Il anéantit donc tout ce qui se retrouve dans son voisinage d’influence gravitationnel, incluant la structure même de l’espace-temps. La résultante de cette action recèle un phénomène des plus curieux : la singularité. C’est un point situé théoriquement au centre du trou noir où toute sa masse, correspondant à 3 fois celles de notre soleil, est concentrée dans l’équivalent d’une particule. En ce point, l’espace, le temps et toutes les lois de la physique relativiste ou quantique ne comptent plus puisqu’une trop grande masse est contenue dans un volume trop étroit. Ce qui s’y produit demeure encore aujourd’hui un mystère pour les scientifiques, puisque, pour le comprendre, il serait nécessaire de repenser tous les principes de la physique.

Durant 37 ans les scientifiques associèrent les trous noirs à la force la plus destructrice de l’Univers. Mais en mars 2000, le monde de la cosmologie fut secoué par une étonnante découverte réalisée par deux astronomes, Laura Ferrarese et Karl Gebhardt. Grâce à l’analyse des données qu’ils ont recueillies à l’aide du télescope spatial Hubble, ils ont permis de mette en évidence l’existence d’un lien qui rattache l’existence même d’une galaxie à la force la plus destructrice de l’Univers en confirmant la présence de trous noirs supermassifs qui peut-être soit « actif » ou « endormi », faute de matière pour l’alimenter, et ce, dans chacune des galaxies, y compris la nôtre. Leurs observations et leurs théories semblent démontrer que les trous noirs supermassif seraient à l'origine de la galaxie qui l'abrite en son cœur, modifiant ainsi notre compréhension et nos anciennes conceptions sur la genèse des galaxies et de l’Univers. Avec cette découverte, les trous noirs n’étaient plus uniquement des destructeurs stellaires, ils en devenaient également ses « créateurs ». 17 ans plus tard, le VLT de l'ESO détecte un tout nouveau mode de formation stellaire. Des étoiles nées au sein de jet issus de trous noirs supermassifs.

Le processus du cycle de l’activité d’un trou noir supermassif est l’une des plus importantes découvertes scientifiques qui nous permettent d’établir directement un lien avec la connaissance des anciens, dont celle de l’hindouisme, qui nous dévoilait, il y a 3500 ans à travers ses écrits, l’histoire de la conception et de la formation de l’Univers.

 

 

[1] En ce début de millénaire on retrouve le centre galactique sur le 26° 50’ du signe du Sagittaire tropical ou 2° 06’ 20 du Sagittaire sidéral Fagan.

Images de SgrA* courtoisie de "Chandra X-Ray Observatory"

 

La source fondamentale de toute vie

Les premières parties du Véda apparurent en Inde aux alentours de 1500 ans av. J.-C.. Ce mot qui signifie le « Savoir » ou la « connaissance sacrée », est caractérisé par une série de texte sacré de l’hindouisme dévoilant la Parole absolue. Cette vérité éternelle se révéla à travers des sages « inspirés » qui la transcrivirent en sanskrit. C’est dans ces textes qu’on retrouve les premières notions écrites de la conception et de la formation de l’Univers et des corps célestes, basés sur des cycles de création, sthiti, et de dissolution, pralaya, et qui firent naître toute chose de « l’Ardeur ».

 

    

Ce « Savoir » nous révèle que le prana, qui est la source fondamentale de toute vie, existait alors, mais sans qu’il n’y ait en lui de mouvement et de vibration, puisqu’ils avaient cessé. Cette condition est appelée l’état d'Anidavadam, ce qui signifie « existant sans vibration ». Alors, quand le Kalpa, qui est la force d’expansion et de compression cosmique, commença à se manifester après une période de temps presque éternelle, l’Anidavadam commença à vibrer. Conséquemment, le prana donna de plus en plus de souffle à l'Akasha, qui est la Lumière Astrale agissant en tant que registre de la mémoire cosmique où est conservée les causes et les effets de ce qui fut et sera. Alors, les atomes se condensèrent et au fur et à mesure qu'ils se condensaient ils formèrent les différents éléments.

Cette phase de la création pourrait être qualifiée du « chaos initial ». Elle est l’idée d’un intermédiaire entre l'être et le non-être qui précède le temps. Elle est l’étincelle d’une « pensée » (manas) ou d’un « désir » (kâma) qui germe et grandit à l'intérieur de l'œuf cosmique pour finalement brisé en deux sa coquille, produisant le ciel et la terre, c'est-à-dire l’incréé et le créé, présidant ainsi à la naissance de l'« Embryon d'or », appelé aussi Prajâpati ou « l’ Ancêtre des créatures ». Celui-ci stabilisa l’espace et les structures du cosmos et du ciel en y allumant le soleil (le Feu central) et la lune (la matière), puis il projeta un flux d’énergie créant les dieux et les humains.

 

Le germe

 

On retrouve les traces de ce savoir dans la « La Doctrine Secrète » écrite par Helena Petrovna Blavatsky. Voici d’ailleurs un cours extrait nous permettant d’établir un lien avec le principe des trous noirs :

 « Un manuscrit archaïque - assemblage de feuilles de palmier rendues, par un procédé inconnu, inaltérable à l’eau, au feu et à l’air - se trouve sous les yeux de l’auteur. Sur la première page, on voit un disque blanc immaculé, sur fond noir. Sur la page suivante, il y a un disque semblable, avec un point au centre. L’étudiant sait que le premier représente le Kosmos dans l’Éternité, avant le réveil de l’Énergie encore assoupie, émanation de l’Univers en des systèmes postérieurs. Le point dans le cercle jusqu’alors immaculé, l’Espace et l’Éternité en Pralaya, indique l’aurore de la différenciation. C’est le Point dans l’oeuf du Monde, le Germe qu’il contient deviendra l’Univers, le Tout, le Kosmos illimité et périodique - ce Germe étant périodiquement et tour à tour latent et actif »[1].  

 

 

 

Ainsi, le germe, l’étincelle de vie, la singularité, sont toute des façons différentes de nommer le principe de l’Un divin qui est en résonance avec toutes les entités central d’un micro ou macrocosme, dont notre Centre Galactique, qui correspond au trou noir supermassif qui régit le cycle de la Vie de notre galaxie qui l’héberge dans son cœur.

 

 

[1] Helena Petrovna Blavatsky, La Doctrine Secrète, préface du premier volume – Cosmogénèse, Pages d'archive préhistorique, page 80. 

 
Le plan divin

 

Lorsque notre cheminement du retour vers l’unicité permet à notre conscience d’atteindre le seuil de ce plan, le centre de notre nouvelle conscience se déplace alors analogiquement au niveau du « Centre galactique ». Notre Soleil individuel, qui était auparavant le centre de notre conscience, nous apparaît dorénavant comme une simple étoile au sein de la communauté stellaire.

On atteint alors le plan de l’Absolu qui se doit d’être considéré au niveau de l’Être Humain comme étant la « non-conscience » et le « néant » divin, ou Adique, ce terme faisant référence à « l’océan de vie ». Pour le Sage c’est l’atteinte du « nirvana », là où il est libéré définitivement de l’obligation de subir le cycle de la ronde incessante de transmigration de naissance en naissance dans les trois univers d’évolution de l’Être : le physique, le spirituel et le galactique.

Le Centre Galactique marquerait possiblement « la » phase d’évolution spirituelle ultime de l’expérience en tant qu’Être Humain, tous en étant un palier intermédiaire, ou le niveau d’une nouvelle séquence de développement, mais cette fois-ci en tant qu’Être Céleste.

Cette phase correspond astrologiquement à l’intégration symbolique de la totalité des composantes de notre cercle zodiacale et du point central situé au centre de notre thème astrologique, symbolisant le centre de notre conscience, marquant ainsi l’atteinte du point ultime de notre quête immémoriale de la communion avec le divin, là où on atteint, tel Bouddha, l’état d’Éveil total à notre réalité universelle, marquant ainsi l’atteinte de la compréhension consciente de notre réalité multidimensionnelle.

 

Le diapason universel

À l’origine, le trou noir situé au cœur de notre galaxie définit « l’absence » ou le néant primordial qui ne s’est pas encore manifesté, mais duquel toute la création de l’environnement de sa galaxie émanera pour se manifester. Ce « Feu central » possède donc un potentiel énergétique illimité duquel émane la Vie, puisqu’il vivifie et anime toutes les autres constituantes de sa galaxie.

Selon le « Savoir » hindouiste, le « son » est également un élément qui contient un énorme potentiel énergétique. Ainsi, le « son » émanant d'une syllabe, ou d’une phrase sacrée, un mantra, contient une charge énergétique considérable, puisque le « son », qui est véhiculé par le mot, exprime l’Être lui-même qui est en résonance, ou en interconnexion instantanée, avec la Divinité absolue.

Serait-il farfelue de penser qu’un trou noir, et donc notre Centre Galactique, pourrait à l’instar d’un diapason émettre un « son » ? En septembre 2003, un groupe d'astronomes on découvert des ondes sonores intergalactiques émises par un trou noir supermassif situé dans la région centrale de l'amas contenant la galaxie Persée qui se situe à 250 millions d'années-lumière de notre Terre. Selon les calculs des scientifiques, le trou noir observé émet une note correspondant au si bémol, 57 octaves sous le do moyen. Ce son est ainsi un million de milliards de fois plus grave que la limite de l'audition humaine[1]. On pourrait donc extrapoler que notre Centre Galactique pourrait également émettre un « son » qui n’a pas encore été « entendu » par nos scientifiques.

À la lumière de cette découverte et de cette hypothèse et, dans une perspective spirituelle et non scientifique, c’est possiblement le premier mantra de la tradition indienne, AUM, qui nous permet d’expliquer le mieux l’apport et le rôle de ce phénomène musical.

 

 

L’AUM est considéré être le « son » primordial qui mit en branle l’énergie cosmique permettant le développement de l’univers. C’est cette énergie, qui est présente, à l’intérieur de toutes les manifestations cosmiques, et donc qui est présente en tout Être.

Ainsi, l’AUM, à l’instar du trou noir supermassif, contient une charge énergétique considérable et extraordinairement efficace, puisqu’il condense en lui toute la série possible des sons et des mots créateurs qu’on peut imaginer, et qui permet d’animer et de donner la Vie à toutes choses, et un trou noir supermassif, à l’instar de l’AUM, exprimerait à la fois la volonté de l’Être et l’Être lui-même d’où tous émanent et vers lequel tous se résorbent.

Tout centre cosmique, devient donc l’émetteur du « son » qui exprime l’unicité, et qui à l’instar d’un diapason, nous permet de maintenir l’harmonisation de la totalité de nos dimensions qui vibrent à l’unisson comme une seule entité liée au principe du « Soi galactique » ou « universel » et qui nous permet de transcender l’illusion de l’individualité associée au Soleil, puisque le Soi est unique et total.

L’AUM est donc la manifestation qui se rapproche le plus de la nature de la Divinité et qui résume en lui-même le souffle créateur, ou logos galactique, qui permet de maintenir l’harmonie entre l’Esprit, l’Âme et la Forme/Corps de toute entité « vivante ».

De ce principe d’écoule les affirmations liturgiques que Dieu est unique et qu’il est présent partout, devenant ainsi la source du concept du monothéiste

[1] Un trou noir peut émettre un son, Nouvelles ~ Radio-Canada.ca.

 
 
Le rythme ternaire

Le « Son » primordial AUM, l’unité de vie, à la capacité de se déployer en trois rythmes sur son propre plan, résultant en l’apparition des vocables A, U et M, chacune de ces trois syllabes se retrouvant alors en présence des autres.

Ces trois aspects sont nécessaires à l’émergence de la Vie de tous cosmos, autant micro que macrocosmique et de leurs amalgamations résulte la multiplicité des formes que l’on retrouve dans notre environnement physique.

Ce sont les manifestations de ce concept qui sont à la source des doctrines trinitaires attribuées à la Déité par presque toutes les religions, soit par exemple les trois corps de Bouddha chez les Tibétains, et un seul Dieu en trois personnes des mystiques chrétiens, pour ne nommer que ces deux-là.

On peut percevoir dans le graphisme du son AUM le nombre 30, ou le nombre 3 à la puissance 0, 30, ce qui nous donne le nombre 1, car tous nombre à la puissance 0 nous ramène invariablement a l'unité.

 

30

30=1

AUM

L’A, est l’énergie qui est la plus proche de l’Un, celle de l’énergie atmique qui anime « l’Esprit » universel (Père), lui-même le véhicule de la « Volonté » qui confère un « sens ».  Cette énergie est le « Feu d’Amour divin » qui consume toute impureté. Elle se manifeste donc à travers la purification, la lumière, l’illumination et la dissipation des ténèbres nous permettant d’avoir une « vision claire de ce qu’on veut être et réaliser ». Il est en lié au concept associé au 1er rayon d’énergie, celui de la Volonté ou de Puissance.

L’U, est l’énergie bouddhique, ou christique, de « L’Amour » qui anime « l’Âme » (Fils). Sa forme Unificatrice dénote la fonction de cette énergie, soit de servir de « lien » entre l’A et l’M, donc entre l’Esprit et la Forme. C’est cette énergie qui est à la base des « valeurs qui guide nos comportements » et qui nous permet de perfectionner, grâce à l'Amour, ce que la volonté a initié. Cette énergie, qui adopte la forme de la Lumière Divine, est également le véhicule de la connaissance et de la sagesse qui est transformé et retransmit sous forme de « pensée semence ». Il est associé au concept du 2e rayon d’énergie, celui d’Amour~Sagesse.

L’M, est l’énergie manasique de « l’Intelligence » qui anime la « Forme » (Saint-Esprit ou la Mère), ou la matière, parce qu’elle se manifeste suite à une pensée organisée par notre faculté mentale[1]. C’est cette énergie qui permet à l’être humain de se distinguer de l’animal en lui permettant de définir des orientations et des moyens qui seront mis en placent pour activer, réaliser et cristalliser les visions et les valeurs divines mises en mouvement par la « Volonté ». Elle est également le transmetteur de la Lumière qui nous permet de percevoir et de comprendre les épreuves de la vie. Il est associé au concept du 3e rayon d’énergie, celui de l’Intelligence active.

Cette triplicité se manifeste à notre esprit de multiple façon, et le tableau qui suit présente qu’une faible aperçu de cette manifestation[2]

Un seul Dieu en trois personnes

Le Créateur - l’Un

AUM

Trois aspects du Créateur

A

U

M

Structure d’une entité

Esprit

Âme

Forme

(corps / personnalité)


[1] Fanchon Pradalier-Roy, Le karma dévoilé, Les qualités de la triplicité, Éditions Alphé, page 42, 2005.

[2] Vous retrouverez dans deux livres écrit par Fanchon Pradalier-Roy, Le karma dévoilé (Alphée), et L’Amour ou le choix de la vie (Éditions du Rocher), plusieurs autres expressions de la triplicité.

 
La manifestation du AUM

Tous comme nous avons besoin de cordes vocales, ou d'une instrumentation technique appropriée, pour permettre aux multiples possibilités sonores présentes à notre esprit de se manifester dans notre environnement physique, l'Être galactique à besoin également de cordes vocales pour lui permettre de manifester la puissance de son Verbe créateur. Dans la lignée de l'évolution de l'Être Humain, cet instrument divin se manifeste à travers l'énergie de la constellation de La Lyre, que je vous invite à découvrir dans une autre page de ce site

cliquez sur l'image pour accéder à La Lyre


 

 

Le contenu de cette page fut publié originalement dans le mensuel Cahier n° 85 du 27 avril 2007, une publication d'Univers-site

Ce site est aujourd'hui fermé.

 

 




Vue d'artiste illustrant le gigantesque nuage de poussière qui entoure notre galaxie
Vue d'artiste représentant le nuage de poussière qui entoure notre galaxie

Le 9 novembre 2010,
un groupe de scientifiques de la NASA
associée au télescope spatial Fermi - rayon gamma
annonça la découverte de deux immenses bulles d'énergies
émergeant de part et d'autre du centre de notre galaxie
sur une distance de 25,000 années-lumière de chaque côté du centre. 


 


Communiqué de presse de la NASA

 

 

16 janvier 2017

Ce que nous vivons tous sur Terre au sein d'une humanité, c'est l'expérience d'une collectivité cosmopolite, qui est le reflet de l'essence même de notre galaxie, alors que les astronomes ont confirmé la présence de 11 nouveaux « fleuves » d'étoiles provenant d'autres galaxies qui se sont intégrés dans notre Voie lactée. Suggérant l'idée que notre Voie lactée, la « Terre au large flanc », est un creuset, un « melting-pot », là où les âmes qui constituent la « lignée humaine » ont solidairement choisi de vivre et d'expérimenter la Création dans toute sa prodigieuse diversité.

 

Voir sur le site EarthSky, l'article de Deborah Byrd, Our Milky Way as a « melting pot » 

SavoirPlus.jpg

 

 


 

Date de création : 29.01.2009 @ 11:28
Dernière modification : 27.12.2022 @ 19:13
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La bannière de la paix

Pour être en « harmonie », il faut d'abord « s'accorder »,

et notre diapason est l'énergie qui émane de la constellation de La Lyre

BannierePaix.jpg

Si on se réclame en faveur de la paix,

alors la seule bannière

que l'on devrait agiter

est celle de la Paix,

symbole de l'unité mondiale.

 


Merci de votre visite

 

 

Rûmi

Bien que les chemins

de la recherche

soient nombreux,

la recherche

est toujours la  même.

 

Son langage simple et la sagesse de ces propos, 

font d'Omraam Mikhaël Aïvanhov

un grand pédagogue de la spiritualité.

 

 

Il a su nous inspirer la Science Cosmique de l'Âme.

 

Matsuo Bashô

matsuo_basho.jpg

Ne marche pas

sur les traces des anciens;

cherche ce qu'ils

cherchaient

Sauf si annoté autrement, les extraits du Maître Omraam Mikhaël Aïvanhov

que vous retrouvez sur le site et les publications de "La Lyre du Québec"

sont reproduits avec l'autorisation de Prosveta ©.


 


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